L’édile de Podor a ainsi appelé à voter «4 fois Non». Et cette position est due, selon elle, aux quatre principes que le chef de l’Etat a transgressé en fixant la date du référendum sans avoir, au préalable, discuté avec les différentes couches de la population.
Ainsi, Aïssata Tall Sall vote une fois "Non" pour «l’éthique qui a été transgressée», car considérant que le chef de l’Etat, après avoir donné sa parole, se devait de la respecter. Ne serait-ce pour la mauvaise réputation des politiques auprès des populations.
Me Sall vote une seconde fois "Non" du fait que ce deuxième refus coïncide avec celui de la «Justice». Selon la socialiste, le prétexte du Président Sall pour ne pas réduire son mandat est sans fondement. Et, explique-t-elle, le peuple est au-dessus du Conseil constitutionnel. D’autant plus que ce dernier n’a émis qu’un avis. Avis que le chef de l’Etat a délibérément choisi d’ignorer.
Sur le plan politique, Me Sall est d’avis que le Président Sall ne s’est pas concerté avec les formations politiques surtout en ce qui concerne les questions politiques, telles que la candidature des indépendants.
Enfin, un quatrième "Non" est pour l’avocate, une manière de faire savoir à Macky Sall que les priorités sont ailleurs. Si on considère l’ébullition actuelle du front social, l’argent avec lequel on va organiser ce référendum pouvait servir à contenter les enseignants qui ne demandent que le respect, par le gouvernement, des engagements pris, a-t-elle souligné.
Ainsi, Aïssata Tall Sall vote une fois "Non" pour «l’éthique qui a été transgressée», car considérant que le chef de l’Etat, après avoir donné sa parole, se devait de la respecter. Ne serait-ce pour la mauvaise réputation des politiques auprès des populations.
Me Sall vote une seconde fois "Non" du fait que ce deuxième refus coïncide avec celui de la «Justice». Selon la socialiste, le prétexte du Président Sall pour ne pas réduire son mandat est sans fondement. Et, explique-t-elle, le peuple est au-dessus du Conseil constitutionnel. D’autant plus que ce dernier n’a émis qu’un avis. Avis que le chef de l’Etat a délibérément choisi d’ignorer.
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