Le Professeur Abdoulaye Samb, Chef de Département Chimie de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), par ailleurs Président de la Commission Enseignement des Sciences et de la Technologie a expliqué que ce faible taux est causé par le temps et la disponibilité que nécessitent les études scientifiques. «Alors que, dans nos sociétés, les filles ont du mal à s’engager dans ses études longues et difficiles», poursuit M. Samb. C’est pourquoi déclare-t-il «le constat accablant est que le nombre de filles dans les classes scientifiques est limité».
A en croire le Professeur Samb plus de la moitié de la population sénégalaise, soit 52 % est constitué de filles. Cette forte proportion des filles au sein de la population «marque une inquiétude grandiose pour les autorités, plus particulièrement les membres de l’ANTS». Cela justifie même la faible absence d’étudiants dans les filières d’études scientifiques. Il a cité en exemple le département de Chimie où se trouveraient 3 ou 4 femmes sur un total de 40 ou 50 enseignants.
Toutefois, M. Samb estime que l’espoir est permis avec la nouvelle loi sur la parité qui est en cours d’étude pour une prochaine application. «Avec cette future disposition, il est possible que les données puissent changer d’ici là», a fait entendre le Professeur.
Pour résoudre ce problème, il suggère à l’Etat de mettre en place une politique particulière d’aide aux filles en les mettant dans des dispositions adéquates de poursuivre leurs études sans aucune inquiétude.
A en croire le Professeur Samb plus de la moitié de la population sénégalaise, soit 52 % est constitué de filles. Cette forte proportion des filles au sein de la population «marque une inquiétude grandiose pour les autorités, plus particulièrement les membres de l’ANTS». Cela justifie même la faible absence d’étudiants dans les filières d’études scientifiques. Il a cité en exemple le département de Chimie où se trouveraient 3 ou 4 femmes sur un total de 40 ou 50 enseignants.
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