L'opposant russe Alexeï Navalny a été interpellé lundi alors qu'il devait se rendre à une manifestation anti-corruption dans le centre de Moscou, non autorisée par les autorités, a annoncé sa femme sur Twitter.
Le leader interpellé. "Salut, c'est Ioulia Navalnaïa. (...) Alexeï a été interpellé à l'entrée de l'immeuble. Il a demandé de vous transmettre que nos projets n'ont pas changé : Tverskaïa", la rue du centre de la capitale où le rassemblement est prévu, indique un message posté sur le compte officiel de l'opposant.
Des manifestants dans plusieurs villes. Par ailleurs, des milliers de partisans du leader d'opposition Alexeï Navalny ont manifesté lundi à travers la Russie, et plusieurs ont été arrêtés à Moscou, ont rapporté les médias russes. Il s'agissait de la deuxième vague de manifestations, après celle du 26 mars, organisée en Russie par Navalny, qui mène sans relâche une campagne anti-corruption sur Internet et a annoncé son intention de défier Vladimir Poutine lors de l'élection présidentielle de 2018.
Selon les médias locaux, environ 3.000 personnes se sont rassemblées à Novossibirsk, en Sibérie, et d'autres manifestations de moindre ampleur ont eu lieu à Krasnoïarsk, Kazan, Tomsk, Vladivostok et plusieurs autres villes. À Moscou, une douzaine de personnes ont été interpellées avant le départ de la manifestation prévu à 14 heures (heure locale et de Paris), selon le site OVD Info, qui tient un décompte des arrestations lors des manifestations.
Une manifestation interdite. Navalny avait accusé dimanche la mairie de Moscou de tenter de faire capoter son rassemblement, prévu sur l'avenue Sakharov dans le Nord-Est de la ville, en empêchant tous les prestataires de lui louer une scène et des équipements sonores.
Il avait alors annoncé que la manifestation aurait lieu rue Tverskaïa, qui mène directement vers le Kremlin, initiative que la mairie de Moscou avait qualifiée de "provocation". La police moscovite a averti sur son site web qu'un autre événement était déjà programmé rue Tverskaïa, et que "toute provocation perpétrée par les manifestants sera considérée comme une atteinte à l'ordre public et immédiatement réprimée".
Le leader interpellé. "Salut, c'est Ioulia Navalnaïa. (...) Alexeï a été interpellé à l'entrée de l'immeuble. Il a demandé de vous transmettre que nos projets n'ont pas changé : Tverskaïa", la rue du centre de la capitale où le rassemblement est prévu, indique un message posté sur le compte officiel de l'opposant.
Des manifestants dans plusieurs villes. Par ailleurs, des milliers de partisans du leader d'opposition Alexeï Navalny ont manifesté lundi à travers la Russie, et plusieurs ont été arrêtés à Moscou, ont rapporté les médias russes. Il s'agissait de la deuxième vague de manifestations, après celle du 26 mars, organisée en Russie par Navalny, qui mène sans relâche une campagne anti-corruption sur Internet et a annoncé son intention de défier Vladimir Poutine lors de l'élection présidentielle de 2018.
Selon les médias locaux, environ 3.000 personnes se sont rassemblées à Novossibirsk, en Sibérie, et d'autres manifestations de moindre ampleur ont eu lieu à Krasnoïarsk, Kazan, Tomsk, Vladivostok et plusieurs autres villes. À Moscou, une douzaine de personnes ont été interpellées avant le départ de la manifestation prévu à 14 heures (heure locale et de Paris), selon le site OVD Info, qui tient un décompte des arrestations lors des manifestations.
Une manifestation interdite. Navalny avait accusé dimanche la mairie de Moscou de tenter de faire capoter son rassemblement, prévu sur l'avenue Sakharov dans le Nord-Est de la ville, en empêchant tous les prestataires de lui louer une scène et des équipements sonores.
Il avait alors annoncé que la manifestation aurait lieu rue Tverskaïa, qui mène directement vers le Kremlin, initiative que la mairie de Moscou avait qualifiée de "provocation". La police moscovite a averti sur son site web qu'un autre événement était déjà programmé rue Tverskaïa, et que "toute provocation perpétrée par les manifestants sera considérée comme une atteinte à l'ordre public et immédiatement réprimée".
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