« Cette croissance assez soutenu en 2015 résulte d’une bonne tenue du secteur primaire, avec l’agriculture qui a enregistré des résultats très appréciables avec une hausse de la production » a dit Pierre Ndiaye directeur de la planification et des politiques Economique dans le journal de l’économie lejecos.
Le secteur agricole a été l’un des principaux moteurs de la croissance en 2015. Et cela est lié certes à une bonne pluviométrie mais également aux décisions prises par le gouvernement, en matière de distribution des intrants mais aussi de la qualité des semences, en matière de mécanisation et de maitrise des itinéraires de production, a-t-il expliqué lors de sa présentation intitulée : Stratégie économique du Sénégal .
L’année 2015 est également caractérisée par la bonne tenue du secteur secondaire, qui a été fortement tiré par la construction d’infrastructures, l’énergie, les cimenteries et la fabrication de produits chimiques , a fait savoir M .Ndiaye .
Selon lui, le secteur tertiaire a également maintenu un bon dynamisme malgré les difficultés du secteur touristique, mais les télécommunications, les services financiers ainsi que le commerce restent dynamiques et ont permis d’atteindre un taux de 5% pour le secteur tertiaire a révélé le journal économique lejecos.
Il poursuit qu’en termes d’inflation, « une très forte baisse de l’inflation est notée en 2011. L’année dernière elle était de -1,1% et sur les premières onze mois de l’année 2015, l’inflation ressort à 0,1% et par conséquent les analyses ne montrent pas un risque d’inflation ».
Pierre Ndiaye indique aussi que sur le plan des finances publiques, des réformes ont été prises dont la suppression des paiements d’impôts en espèces au-delà du montant de 100OOO FCFA, l’instauration de la réserve de précaution qui vise à organiser un processus d’accès compétitifs à certaines ressources financières du budget et aussi la poursuite et la modernisation des finances . L’ensemble de ces mesures ont permis d’avoir une progression soutenable des recettes autour de 5,4% alors que les recettes fiscales progressent autour de 7, 6 % malgré la baisse des droits d’enregistrement, a-t-il indiqué.
Le directeur de la planification et des politiques économique annonce qu’au total la pression fiscale devrait tourner autour de 19,6% en 2015 contre 19, 2% en 2014, ce qui se rapproche du nouveau seuil fixé par l’UEMOA (20%), un effort obtenu grâce à l’élargissement de l’assiette fiscale.
Selon toujours Pierre Ndiaye, en 2016, le taux de croissance de 6% devrait être porter par un regain de dynamisme du secteur secondaire qui doit afficher un taux de croissance de plus de 8%, ainsi que le secteur primaire qui devrait être bien tenu avec l’agriculture d’où une croissance qui devrait autour de 6 ,4% et le secteur tertiaire 5,4%.
Le directeur de la planification et des politiques économique Pierre Ndiaye a fait cette déclaration en marge de la réunion de travail entre le ministère de l’économie des finances et du plan avec le secteur privé sénégalais.
Le secteur agricole a été l’un des principaux moteurs de la croissance en 2015. Et cela est lié certes à une bonne pluviométrie mais également aux décisions prises par le gouvernement, en matière de distribution des intrants mais aussi de la qualité des semences, en matière de mécanisation et de maitrise des itinéraires de production, a-t-il expliqué lors de sa présentation intitulée : Stratégie économique du Sénégal .
L’année 2015 est également caractérisée par la bonne tenue du secteur secondaire, qui a été fortement tiré par la construction d’infrastructures, l’énergie, les cimenteries et la fabrication de produits chimiques , a fait savoir M .Ndiaye .
Selon lui, le secteur tertiaire a également maintenu un bon dynamisme malgré les difficultés du secteur touristique, mais les télécommunications, les services financiers ainsi que le commerce restent dynamiques et ont permis d’atteindre un taux de 5% pour le secteur tertiaire a révélé le journal économique lejecos.
Il poursuit qu’en termes d’inflation, « une très forte baisse de l’inflation est notée en 2011. L’année dernière elle était de -1,1% et sur les premières onze mois de l’année 2015, l’inflation ressort à 0,1% et par conséquent les analyses ne montrent pas un risque d’inflation ».
Pierre Ndiaye indique aussi que sur le plan des finances publiques, des réformes ont été prises dont la suppression des paiements d’impôts en espèces au-delà du montant de 100OOO FCFA, l’instauration de la réserve de précaution qui vise à organiser un processus d’accès compétitifs à certaines ressources financières du budget et aussi la poursuite et la modernisation des finances . L’ensemble de ces mesures ont permis d’avoir une progression soutenable des recettes autour de 5,4% alors que les recettes fiscales progressent autour de 7, 6 % malgré la baisse des droits d’enregistrement, a-t-il indiqué.
Le directeur de la planification et des politiques économique annonce qu’au total la pression fiscale devrait tourner autour de 19,6% en 2015 contre 19, 2% en 2014, ce qui se rapproche du nouveau seuil fixé par l’UEMOA (20%), un effort obtenu grâce à l’élargissement de l’assiette fiscale.
Selon toujours Pierre Ndiaye, en 2016, le taux de croissance de 6% devrait être porter par un regain de dynamisme du secteur secondaire qui doit afficher un taux de croissance de plus de 8%, ainsi que le secteur primaire qui devrait être bien tenu avec l’agriculture d’où une croissance qui devrait autour de 6 ,4% et le secteur tertiaire 5,4%.
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