«En premier lieu, je relève que Mr Bassirou Gueye doit particulièrement manquer de sérénité au point d’évoquer en face de la presse un dossier déjà en audience et dont il s’est dessaisi. En second lieu, on attend d’un Procureur de la République dévoilant les éléments du contenu d’un dossier, qu’il dise la vérité : NON MONSIEUR LE PROCUREUR, Abdoul Mbaye n’a jamais produit un certificat de mariage au dossier », peut-on lire dans le communiqué d’Abdoul Mbaye concernant la sortie du procureur de la République qui s'est prononcé sur l’affaire de son divorce avec d'Aminata Diack, son ex épouse.
Poursuivant, le président de l’Alliance pour la citoyenneté et le travail (Act) révèle qu’ «en troisième lieu, en présence de 2 certificats contradictoires (en fait il n’y en a qu’un, l’autre étant le fruit de son imagination forcée), Monsieur le Procureur aurait pu préciser pourquoi il a choisi de ne poursuivre que Abdoul Mbaye».
Selon lui, contrairement au démenti du procureur sur l’existence d’un acharnement contre sa personne, il fait l’objet d’une cabale puisque le procureur «a cependant omis de dire que j’ai été inculpé pour complicité de faux, usage de faux et escroquerie alors qu’il n’y avait ni faux présenté (toujours pas à ce jour), ni préjudice (toujours pas à ce jour), ni partie civile. Il a omis de préciser que Aminata Diack s’est constituée partie civile au cours de l’instruction après mon audition, et que le juge Samba Sall a refusé de me réentendre afin que je puisse être informé des faits qu’elle me reproche…. »
Et M. Mbaye d’en déduire : «Il aura donc fallu du mensonge, des omissions et la désignation d’un bouc émissaire pour démontrer l’absence d’un acharnement sur ma personne ! Mes compatriotes, les hôtes étrangers qui vivent parmi nous et la communauté internationale apprécieront ».
Avant d’appeler les «juges en fonction, juges à la retraite » de réagir à l’image du juge Ibrahima Hamidou Dème afin «de stopper les dérives d’une justice provoquées par de l’incompétence, de la méchanceté et de la bêtise politiques».
Poursuivant, le président de l’Alliance pour la citoyenneté et le travail (Act) révèle qu’ «en troisième lieu, en présence de 2 certificats contradictoires (en fait il n’y en a qu’un, l’autre étant le fruit de son imagination forcée), Monsieur le Procureur aurait pu préciser pourquoi il a choisi de ne poursuivre que Abdoul Mbaye».
Selon lui, contrairement au démenti du procureur sur l’existence d’un acharnement contre sa personne, il fait l’objet d’une cabale puisque le procureur «a cependant omis de dire que j’ai été inculpé pour complicité de faux, usage de faux et escroquerie alors qu’il n’y avait ni faux présenté (toujours pas à ce jour), ni préjudice (toujours pas à ce jour), ni partie civile. Il a omis de préciser que Aminata Diack s’est constituée partie civile au cours de l’instruction après mon audition, et que le juge Samba Sall a refusé de me réentendre afin que je puisse être informé des faits qu’elle me reproche…. »
Et M. Mbaye d’en déduire : «Il aura donc fallu du mensonge, des omissions et la désignation d’un bouc émissaire pour démontrer l’absence d’un acharnement sur ma personne ! Mes compatriotes, les hôtes étrangers qui vivent parmi nous et la communauté internationale apprécieront ».
Avant d’appeler les «juges en fonction, juges à la retraite » de réagir à l’image du juge Ibrahima Hamidou Dème afin «de stopper les dérives d’une justice provoquées par de l’incompétence, de la méchanceté et de la bêtise politiques».
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