Les Kurdes ont repris le contrôle des alentours de la prison de Ghwayran où les combats ont cessé, avec le soutien actif des forces de la coalition internationale dirigée par les États-Unis le contrôle des alentours de la prison où les combats ont cessé. Elles procèdent à un ratissage minutieux des bâtiments du centre de détention, où de violentes escarmouches éclatent parfois avec des jihadistes qui ont refusé de se rendre.
La rébellion a été pratiquement matée mais le couvre-feu décrété depuis une semaine dans les quartiers autour de Ghwayran n’a toujours pas été levé et les 45 000 habitants qui ont fui en catastrophe n’ont pas encore été autorisés à rentrer. Le secrétaire général adjoint de l'ONU pour les Affaires humanitaires, Martin Griffiths a exprimé jeudi sa plus grande préoccupation pour le sort des « centaines d'enfants piégés dans (le) terrifiant siège » de la prison de Ghwayran.
Des jihadistes en fuite
Des centaines de mineurs combattants, appelés les « lionceaux du califat », ont été évacués de la prison par les forces kurdes ces derniers jours. Mais il en reste encore un nombre indéterminé à l’intérieur des bâtiments. Le nombre exact de jihadistes qui ont réussi à fuir n’est pas encore connu. Probablement plusieurs dizaines de personnes.
Sécurité renforcée et chasse à l'homme
L’armée gouvernementale syrienne qui se partage Hassaké avec les forces kurdes a renforcé les mesures de sécurité dans les secteurs sous son contrôle.
L’armée irakienne a fait de même le long de la frontière où d’importants renforts ont été dépêchés. Signe de la gravité de la situation, le Premier ministre irakien a inspecté jeudi les troupes déployées le long de la frontière et a lancé une ferme mise en garde au groupe État islamique.
Les forces kurdes ont lancé une chasse à l’homme dans l’est de la Syrie à la recherche de fugitifs. Elles ont procédé, jeudi, à l’arrestation d’une trentaine d’habitants de la province orientale de Deir Ezzor pour collaboration avec le groupe État islamique.
La rébellion a été pratiquement matée mais le couvre-feu décrété depuis une semaine dans les quartiers autour de Ghwayran n’a toujours pas été levé et les 45 000 habitants qui ont fui en catastrophe n’ont pas encore été autorisés à rentrer. Le secrétaire général adjoint de l'ONU pour les Affaires humanitaires, Martin Griffiths a exprimé jeudi sa plus grande préoccupation pour le sort des « centaines d'enfants piégés dans (le) terrifiant siège » de la prison de Ghwayran.
Des jihadistes en fuite
Des centaines de mineurs combattants, appelés les « lionceaux du califat », ont été évacués de la prison par les forces kurdes ces derniers jours. Mais il en reste encore un nombre indéterminé à l’intérieur des bâtiments. Le nombre exact de jihadistes qui ont réussi à fuir n’est pas encore connu. Probablement plusieurs dizaines de personnes.
Sécurité renforcée et chasse à l'homme
L’armée gouvernementale syrienne qui se partage Hassaké avec les forces kurdes a renforcé les mesures de sécurité dans les secteurs sous son contrôle.
L’armée irakienne a fait de même le long de la frontière où d’importants renforts ont été dépêchés. Signe de la gravité de la situation, le Premier ministre irakien a inspecté jeudi les troupes déployées le long de la frontière et a lancé une ferme mise en garde au groupe État islamique.
Les forces kurdes ont lancé une chasse à l’homme dans l’est de la Syrie à la recherche de fugitifs. Elles ont procédé, jeudi, à l’arrestation d’une trentaine d’habitants de la province orientale de Deir Ezzor pour collaboration avec le groupe État islamique.
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