« Le jour j, il nous est recommandé d’égorger le mouton, après que l’imam ait égorgé son mouton. Si vous le faites, vous aurez de la viande, mais vous n’aurez pas la récompense divine. Il est recommandé d’avoir un couteau tranchant parce que le Prophète (PSL) nous dit qu’il ne faut pas égorger deux (2) fois le mouton. On lui a demandé comment peut-on égorger deux fois le mouton, il dit, en montrant ce couteau tranchant au mouton qui le regarde, qui le voit, vous l’aurez égorgé avant. Et après, si vous passez à l’acte, c’est deux fois. Donc, il faut que le couteau soit tranchant, vous le cachez et vous passez à l’acte tout en mettant la tête dirigée vers la Kaaba », explique-t-il au micro de Sud FM.
Dans ses éclaircissements, Imam Diop précise qu’ « on n’a pas besoin de faire les ablutions au mouton ». Les ablutions, fait-il savoir, « c’est pour les êtres humains qui doivent après, prier, mais le mouton ne prie pas, on n’a pas besoin de lui faire faire des ablutions. Donc on peut le laver dans le but d’utiliser la peau qui sera tannée après ».
A la personne qui doit égorger le mouton, imam rappelle qu’une fois dirigée vers la Kaaba, il ne faut pas dire « bisimilahi rahmani rahiim » en égorgeant, mais plutôt « bismilahi Alahou Akbar Alahouma Haaza miin kâ wa Ileyka ». Il faut, poursuit-il, « d’abord couper les carotides plus la gorge. Si vous coupez les carotides plus la gorge, vous aurez égorgé le mouton conformément à la loi islamique ».
Le mouton, une fois égorgé, est à retenir jusqu’à ce qu’il ne bouge plus et il ne faut pas le laisser se lever et se donner contre le mur jusqu’à ce qu’il soit mort car en ce moment là, le mur l’aura aidé à rendre l’âme, et même sa consommation ne sera pas licite, conclut l’imam.
Dans ses éclaircissements, Imam Diop précise qu’ « on n’a pas besoin de faire les ablutions au mouton ». Les ablutions, fait-il savoir, « c’est pour les êtres humains qui doivent après, prier, mais le mouton ne prie pas, on n’a pas besoin de lui faire faire des ablutions. Donc on peut le laver dans le but d’utiliser la peau qui sera tannée après ».
A la personne qui doit égorger le mouton, imam rappelle qu’une fois dirigée vers la Kaaba, il ne faut pas dire « bisimilahi rahmani rahiim » en égorgeant, mais plutôt « bismilahi Alahou Akbar Alahouma Haaza miin kâ wa Ileyka ». Il faut, poursuit-il, « d’abord couper les carotides plus la gorge. Si vous coupez les carotides plus la gorge, vous aurez égorgé le mouton conformément à la loi islamique ».
Le mouton, une fois égorgé, est à retenir jusqu’à ce qu’il ne bouge plus et il ne faut pas le laisser se lever et se donner contre le mur jusqu’à ce qu’il soit mort car en ce moment là, le mur l’aura aidé à rendre l’âme, et même sa consommation ne sera pas licite, conclut l’imam.
Autres articles
-
Prix E-jicom 2025 : la huitième édition célébrée ce 13 décembre sous le signe de la Résilience
-
Bras de fer État–médias : la décision de la Cour suprême portant annulation des arrêtés du ministère de la Communication
-
Kolda : des femmes outillées pour renforcer leur présence dans les chambres consulaires
-
Disparition des huit (08) pêcheurs à Saint Louis : les « Guet ndariens » interpellent le gouvernement
-
Assemblée nationale : Cheikh Tidiane Dièye adopte une approche de "rupture" face à la crise de l'Eau




Prix E-jicom 2025 : la huitième édition célébrée ce 13 décembre sous le signe de la Résilience


