Les travailleurs du secteur public tchadien réclament toujours des augmentations de salaires.
Les travailleurs ont décidé de maintenir la pression sur le gouvernement. Ils avaient dégarni les hôpitaux pendant trois jours la semaine dernière, obligeant les autorités à faire appel au personnel de santé des armées. Cette fois-ci, l’Union des syndicats du Tchad entend débrayer toute la semaine.
En fin de semaine dernière, le Conseil national de dialogue social, une structure tripartite où siègent gouvernement, patronat et syndicats, a essayé de pousser les parties à discuter. Le gouvernement s’est dit prêt à discuter de tous les points, mais demande une suspension de la grève. On ne peut négocier dans une atmosphère de tension, ont expliqué les représentants du gouvernement.
L’Union des syndicats du Tchad se dit aussi prête à suspendre la grève. Mais à condition que les retenues de salaire des travailleurs grévistes, les affectations sanctions et autres mesures de rétorsions soient levées. Elle ajoute aussi la condamnation des responsables et du directeur de publication de N'Djaména Bi-Hebdo à cause d’une pétition contre le régime.
Jusqu’à dimanche soir, les parties ne se sont pas entendues et le communiqué conjoint annonçant la suspension de la grève, le temps des discussions, n’a finalement pas été signé. La grève d’une semaine renouvelable est donc lancée à partir de ce lundi
Source: RFI
En fin de semaine dernière, le Conseil national de dialogue social, une structure tripartite où siègent gouvernement, patronat et syndicats, a essayé de pousser les parties à discuter. Le gouvernement s’est dit prêt à discuter de tous les points, mais demande une suspension de la grève. On ne peut négocier dans une atmosphère de tension, ont expliqué les représentants du gouvernement.
L’Union des syndicats du Tchad se dit aussi prête à suspendre la grève. Mais à condition que les retenues de salaire des travailleurs grévistes, les affectations sanctions et autres mesures de rétorsions soient levées. Elle ajoute aussi la condamnation des responsables et du directeur de publication de N'Djaména Bi-Hebdo à cause d’une pétition contre le régime.
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