Seydi Gassama qui dénonce les cas de torture, tueries et arrestations arbitraires qui ont connu une certaine recrudescence en Casamance, n'y va pas du dos de la cuillière pour fustiger avec la dernière énergie cette exaction commise par certains éléments de l’armée nationale.
Décriant également les nombreux cas d’enlèvement dans lesquels les hommes de troupes ont été cités, le droits de l'hommiste ne manque pas d'asséner.
« Une femme est venue me parler de l’enlèvement de son mari depuis un an, après avoir été arrêté à Bignona par l’armée. Et depuis lors, personnes ne sait s’il est toujours en vivant, ou s’il a été exécuté », se plaint le président d'Amnesty International section Sénégal qui s'érige là des atteintes graves aux droits de l’homme.
Seydi Gassama qui craint que le processus de paix qui est en cours ne connaisse des perturbations, ne manque pas de préciser.
« On ne peut pas travailler la paix, et que au même moment des militaires se mettent à arrêter des gens, à les faire disparaître, à les torturer ou à les tuer », fulmine-t-il sur les colonnes du journal "L'As".
Décriant également les nombreux cas d’enlèvement dans lesquels les hommes de troupes ont été cités, le droits de l'hommiste ne manque pas d'asséner.
« Une femme est venue me parler de l’enlèvement de son mari depuis un an, après avoir été arrêté à Bignona par l’armée. Et depuis lors, personnes ne sait s’il est toujours en vivant, ou s’il a été exécuté », se plaint le président d'Amnesty International section Sénégal qui s'érige là des atteintes graves aux droits de l’homme.
Seydi Gassama qui craint que le processus de paix qui est en cours ne connaisse des perturbations, ne manque pas de préciser.
« On ne peut pas travailler la paix, et que au même moment des militaires se mettent à arrêter des gens, à les faire disparaître, à les torturer ou à les tuer », fulmine-t-il sur les colonnes du journal "L'As".
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