Depuis plusieurs jours, le débat s’est installé au sein de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS). Et chacun y va de son interprétation de l’article 26 des statuts du parti, qui parle d’un directoire composé du secrétaire général, du président de la commission électorale permanente et du numéro un de la convention démocratique du parti.
Jean-Claude Tshilumbayi, rapporteur de la commission électorale permanente de l’UDPS, parle de deux groupes qui s’affrontent : « Je constate seulement qu’il y a là un besoin, un problème de ceux qui trouvent qu’il n’est pas bon que le parti soit cogéré, et ceux qui pensent qu’il faut rester dans l’esprit des statuts. Le débat interne a toujours été au rendez-vous, même du vivant de feu Étienne Tshisekedi. »
Pour le secrétaire général adjoint Augustin Kabuya, cité dans le journal Le Phare, « l’article 26 parle de l’empêchement définitif du président du parti, ce qui n’est pas le cas pour le président Félix Tshisekedi, chef de l’État, qui est temporairement empêché par les obligations d’État ».
De leur côté, le président de la commission électorale permanente Jacquemin Shabani et son collègue de la convention démocratique, Wakenda Bukasa, s’en tiennent à la mise en place du directoire. Ils demandent l’arbitrage du président Félix Tshisekedi pour trancher.
Jean-Claude Tshilumbayi, rapporteur de la commission électorale permanente de l’UDPS, parle de deux groupes qui s’affrontent : « Je constate seulement qu’il y a là un besoin, un problème de ceux qui trouvent qu’il n’est pas bon que le parti soit cogéré, et ceux qui pensent qu’il faut rester dans l’esprit des statuts. Le débat interne a toujours été au rendez-vous, même du vivant de feu Étienne Tshisekedi. »
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