Le président tunisien Moncef Marzouki AFP
Chose promise, chose due : Moncef Marzouki avait annoncé, au lendemain de son élection, qu'il se rendrait en Libye pour son premier déplacement à l'étranger. Tout un symbole.
Les deux voisins ont traversé une année 2011 chaotique, mais après les révolutions, l'heure est maintenant à la transition et à la coopération, notamment une coopération économique.
Pour cette visite, le chef de l'Etat tunisien sera donc accompagné de nombreux hommes d'affaires, dont la patronne des patronnes, Wided Bouchamaoui, qui plaide pour la mise en place d'un espace économique commun entre la Tunisie et la Libye. Au programme, trois étapes : Tripoli, Misrata et Benghazi.
La délégation devrait par ailleurs rencontrer le président du CNT, Conseil national de transition libyen Mustapha Abdeljalil et le Premier ministre Abderahim el-Kib.
Tunis et Tripoli affichent donc leur bonne entente et la volonté de partager un avenir commun, même si un incident a failli semer le trouble, quand un gendarme tunisien a été enlevé samedi, à la frontière, par un groupe armé libyen. Il a finalement été libéré le lendemain.
Pour le ministère de l'Intérieur tunisien, « des actions de cette nature ne réussiront pas à porter atteinte aux bonnes relations » entre les deux pays.
Source: RFI
Les deux voisins ont traversé une année 2011 chaotique, mais après les révolutions, l'heure est maintenant à la transition et à la coopération, notamment une coopération économique.
Pour cette visite, le chef de l'Etat tunisien sera donc accompagné de nombreux hommes d'affaires, dont la patronne des patronnes, Wided Bouchamaoui, qui plaide pour la mise en place d'un espace économique commun entre la Tunisie et la Libye. Au programme, trois étapes : Tripoli, Misrata et Benghazi.
La délégation devrait par ailleurs rencontrer le président du CNT, Conseil national de transition libyen Mustapha Abdeljalil et le Premier ministre Abderahim el-Kib.
Tunis et Tripoli affichent donc leur bonne entente et la volonté de partager un avenir commun, même si un incident a failli semer le trouble, quand un gendarme tunisien a été enlevé samedi, à la frontière, par un groupe armé libyen. Il a finalement été libéré le lendemain.
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