Cinquante hommes munis de lance-roquettes antichar ont attaqué une caserne du nord-est algérien, déclenchant une riposte de l'armée et de l'aviation. D'après le quotidien El-Khabar, qui cite une source de la sécurité, jeudi 7 février, deux assaillants ont été tués et six militaires blessés dans l'attaque, qui a eu lieu mercredi soir à Khenchela, à 540 km au sud-est d'Alger.
L'agence APS, qui s'appuie également sur des sources de sécurité, a confirmé l'attaque, précisant qu'elle avait visé un poste d'observation militaire et s'était déroulée dans la nuit de lundi à mardi. Et le bilan cité par l'APS fait état d'un assaillant tué, sans évoquer de blessé. Selon El-Khabar, des Tunisiens et des Libyens figuraient parmi les assaillants, qui ont utilisé des armes provenant de Libye, en particulier des RPG.
L'opération a commencé par l'enlèvement de deux civils, dont le chauffeur d'un camion qui transportait des vivres aux militaires. Les assaillants ont chargé le véhicule d'armes lourdes et l'ont utilisé pour forcer l'accès à la caserne, tandis qu'un second groupe échangeait des tirs avec les soldats. L'échange de coups de feu a duré trois heures durant lesquelles l'armée a utilisé des avions, des hélicoptères et l'artillerie, d'après El-Khabar. Une opération de ratissage a ensuite été lancée pour traquer le reste du groupe armé alors que l'assaillant blessé était interrogé.
L'agence APS a précisé que le sort d'un des deux civils enlevés restait "inconnu", mais que l'autre avait été libéré. Jeudi après-midi, aucun communiqué officiel n'avait encore été diffusé.
Cette attaque intervient trois semaines après celle du site gazier de Tigantourine, à 1 300 km au sud-est d'Alger, qui a été le théâtre d'une prise d'otages dans laquelle au moins 37 étrangers et un Algérien ont été tués.
Source : AFP & Le Monde.fr
L'agence APS, qui s'appuie également sur des sources de sécurité, a confirmé l'attaque, précisant qu'elle avait visé un poste d'observation militaire et s'était déroulée dans la nuit de lundi à mardi. Et le bilan cité par l'APS fait état d'un assaillant tué, sans évoquer de blessé. Selon El-Khabar, des Tunisiens et des Libyens figuraient parmi les assaillants, qui ont utilisé des armes provenant de Libye, en particulier des RPG.
L'opération a commencé par l'enlèvement de deux civils, dont le chauffeur d'un camion qui transportait des vivres aux militaires. Les assaillants ont chargé le véhicule d'armes lourdes et l'ont utilisé pour forcer l'accès à la caserne, tandis qu'un second groupe échangeait des tirs avec les soldats. L'échange de coups de feu a duré trois heures durant lesquelles l'armée a utilisé des avions, des hélicoptères et l'artillerie, d'après El-Khabar. Une opération de ratissage a ensuite été lancée pour traquer le reste du groupe armé alors que l'assaillant blessé était interrogé.
L'agence APS a précisé que le sort d'un des deux civils enlevés restait "inconnu", mais que l'autre avait été libéré. Jeudi après-midi, aucun communiqué officiel n'avait encore été diffusé.
Cette attaque intervient trois semaines après celle du site gazier de Tigantourine, à 1 300 km au sud-est d'Alger, qui a été le théâtre d'une prise d'otages dans laquelle au moins 37 étrangers et un Algérien ont été tués.
Source : AFP & Le Monde.fr
Autres articles
-
Coup d’État avorté au Bénin : le chef de la Garde républicaine raconte l’assaut contre la résidence de Patrice Talon
-
Bénin: les pays de l'Alliance des Etats du Sahel (AES) très attentifs à la situation
-
Coup d'Etat en Guinée-Bissau: l'opposition demande à la Cédéao de faire preuve de la même fermeté qu'au Bénin
-
Nigeria: le Sénat valide officiellement envoi de troupes au Bénin
-
Soudan: l’ex-chef de milice Ali Kushayb condamné à 20 ans de prison par la CPI pour «crimes contre l’humanité et crimes de guerre commis au Darfour»




Coup d’État avorté au Bénin : le chef de la Garde républicaine raconte l’assaut contre la résidence de Patrice Talon


