Depuis le palais Miraflores, Nicolas Maduro a dénoncé dès le 31 octobre une attaque en règle massive contre son compte Twitter. Avant d’ajouter que les profils de « patriotes bolivariens et de chavistes vénézuéliens » ont, eux aussi, été victimes de sabotage sur internet. Le président a immédiatement lancé sa contre-offensive : il demande à tous ses sympathisants de lancer une vraie bataille sur le réseau social.
Nicolas Maduro s’en est d’abord pris « à la droite internationale, aux élites qui dirigent les pays capitalistes et aux entreprises bourgeoises du pays ». Mais le mandataire vénézuélien a surtout dénoncé l’opposition d’Henrique Capriles qui agit selon lui « contre la paix » dans le pays. Une opposition, aux dires de Nicolas Maduro, qui multiplie « des actions de grande ampleur » pour que les élections municipales du 8 décembre prochain soient suspendues.
Et au sein de l’exécutif, d’autres personnalités ont également réagi : la ministre de la Communication a affirmé que de nombreux comptes twitter de fonctionnaires de l’Etat ont également été suspendus.
Nicolas Maduro a déjà fait savoir qu’il exigeait une réponse du réseau social et qu’il était prêt à faire appel à des avocats pour le défendre.
Source : Rfi.fr
Nicolas Maduro s’en est d’abord pris « à la droite internationale, aux élites qui dirigent les pays capitalistes et aux entreprises bourgeoises du pays ». Mais le mandataire vénézuélien a surtout dénoncé l’opposition d’Henrique Capriles qui agit selon lui « contre la paix » dans le pays. Une opposition, aux dires de Nicolas Maduro, qui multiplie « des actions de grande ampleur » pour que les élections municipales du 8 décembre prochain soient suspendues.
Et au sein de l’exécutif, d’autres personnalités ont également réagi : la ministre de la Communication a affirmé que de nombreux comptes twitter de fonctionnaires de l’Etat ont également été suspendus.
Nicolas Maduro a déjà fait savoir qu’il exigeait une réponse du réseau social et qu’il était prêt à faire appel à des avocats pour le défendre.
Source : Rfi.fr
Autres articles
-
Italie: la justice soupçonne plusieurs marques de luxe d’exploiter des travailleurs migrants
-
Sous fortes pressions militaire et politique, l'Ukraine négocie aux États-Unis
-
Palestine: quand des objets ordinaires deviennent des symboles de résistance
-
États-Unis: après les tirs près de la Maison Blanche, Trump dénonce un «acte de terrorisme»
-
Au moins 13 morts dans l’incendie d’un complexe résidentiel à Hong Kong




Italie: la justice soupçonne plusieurs marques de luxe d’exploiter des travailleurs migrants


