Vingt-deux professeurs de l’Université Cheikh Anta Diop (Ucad) ont exigé la libération de leur collègue Dr Babacar Diop, arrêté vendredi dernier, puis emprisonné, après avoir pris part à une manifestation non autorisée contre la hausse du prix de l’électricité devant le Palais.
Sans chercher à exercer une quelconque pression sur la justice ou à remettre en cause son indépendance, ces enseignants s’interrogent néanmoins sur les motivations réelles de la décision judiciaire de le placer sous mandat de dépôt.
Présumé coupable d’une infraction à un arrêté préfectoral lui-même en contradiction avec les dispositions de la constitution, le Dr. Babacar Diop dispose tout de même d’une résidence permanente au Sénégal et ne fuira en aucun cas le pays, informent-ils.
La justice sait donc où le trouver. S’y ajoute le fait que le Dr. Babacar Diop a déjà démarré ses enseignements au Département de Philosophie. Par conséquent le placer sous mandat de dépôt revient à saborder les activités pédagogiques et de recherche du Département de Philosophie, menaçant ainsi la nouvelle année universitaire.
Toutes ces raisons ont poussé ses collègues à solliciter auprès des autorités la reconsidération de cette décision judiciaire, pour préserver la paix et la stabilité au niveau de l’Université.
Sans chercher à exercer une quelconque pression sur la justice ou à remettre en cause son indépendance, ces enseignants s’interrogent néanmoins sur les motivations réelles de la décision judiciaire de le placer sous mandat de dépôt.
Présumé coupable d’une infraction à un arrêté préfectoral lui-même en contradiction avec les dispositions de la constitution, le Dr. Babacar Diop dispose tout de même d’une résidence permanente au Sénégal et ne fuira en aucun cas le pays, informent-ils.
La justice sait donc où le trouver. S’y ajoute le fait que le Dr. Babacar Diop a déjà démarré ses enseignements au Département de Philosophie. Par conséquent le placer sous mandat de dépôt revient à saborder les activités pédagogiques et de recherche du Département de Philosophie, menaçant ainsi la nouvelle année universitaire.
Toutes ces raisons ont poussé ses collègues à solliciter auprès des autorités la reconsidération de cette décision judiciaire, pour préserver la paix et la stabilité au niveau de l’Université.
Autres articles
-
Ziguinchor : 5 entreprises accompagnées et 8 distinguées par le BMN et le COPIL-R
-
Fatick : interception de 15 kg de chanvre indien, un individu arrêté par la BRS
-
Nouvelle dynamique de développement de Ziguinchor et de la Casamance : Idrissa Benjamin Sané interpelle le président de la République
-
Affaire SOFTCARE : le ministère de la Santé annonce une mission conjointe pour faire la lumière sur les faits
-
Conseil national de la consommation : vers une baisse de 50 FCFA sur le prix du riz brisé importé dès 2026





Ziguinchor : 5 entreprises accompagnées et 8 distinguées par le BMN et le COPIL-R


