Le magasin Leclerc de Douai (Nord) assure n'avoir fait qu'"appliquer les directives". Un couple de clients guinéens a été dénoncé à la police, lundi 29 septembre, après avoir voulu payer ses courses avec un billet de 500 euros. Un fait qui lui a valu près de vingt heures de garde à vue, révèle La Voix du Nord, alors que le billet était vrai.
Régler ses courses avec un billet de 500 euros, "c'est très rare", justifie la direction. "On a des détecteurs de faux billets, mais ils ne sont pas fiables à 100%. Il y avait de gros doutes sur ce billet, il est passé dans plusieurs mains et on a appelé la police."
Le temps d'attendre l'expertise d'une banque, le couple a été contraint de passer la nuit en garde à vue, avant d'être relâché mardi matin et de retrouver son billet. Dans La Voix du Nord, la direction de l'hypermarché, elle, se défend de tout délit de faciès ou excès de zèle : "On avait des soupçons sur le billet, pas sur les clients. On a 1 200 000 passages en caisse par an, dans 99 % des cas, on ne se trompe pas. Là, on a fait confiance à l'humain. Or, dès qu'il y a de l'humain, il peut y avoir de l'erreur. On comprend que ça n'a pas dû être agréable, c'est sûr, mais on n'a fait qu'appliquer les directives."
L'hypermarché plaide l'erreur humaine
Régler ses courses avec un billet de 500 euros, "c'est très rare", justifie la direction. "On a des détecteurs de faux billets, mais ils ne sont pas fiables à 100%. Il y avait de gros doutes sur ce billet, il est passé dans plusieurs mains et on a appelé la police."
Le temps d'attendre l'expertise d'une banque, le couple a été contraint de passer la nuit en garde à vue, avant d'être relâché mardi matin et de retrouver son billet. Dans La Voix du Nord, la direction de l'hypermarché, elle, se défend de tout délit de faciès ou excès de zèle : "On avait des soupçons sur le billet, pas sur les clients. On a 1 200 000 passages en caisse par an, dans 99 % des cas, on ne se trompe pas. Là, on a fait confiance à l'humain. Or, dès qu'il y a de l'humain, il peut y avoir de l'erreur. On comprend que ça n'a pas dû être agréable, c'est sûr, mais on n'a fait qu'appliquer les directives."
Autres articles
-
Plan Trump pour Gaza: des juristes vent debout contre «un protectorat illégal»
-
Guerre en Ukraine: poursuite des pourparlers à Miami, malgré l’incertitude sur une réunion russo-ukrainienne
-
Le ministre russe Lavrov affirme que la sécurité est une condition essentielle au développement de l'Afrique
-
Taïwan : au moins trois personnes tuées dans des attaques dans le métro de la capitale
-
Paris: fin du procès Lafarge, décision attendue le 13 avril 2026





Plan Trump pour Gaza: des juristes vent debout contre «un protectorat illégal»


