Fin mars, des centaines de migrants, en majorité venus de la RDC, ont été ciblés dans des émeutes à caractère xénophobes au sud de Durban.
Un Congolais a même été brulé vif dans la ville. Depuis, cette communauté vit sous des tentes dressées sur un terrain de sport.
Quelques jours plus tôt, le roi zulu dans la région de Durban avait appelé à ce que tous les étrangers sans papiers soit expulsés du pays.
Ces propos ont poussé les associations de défense des droits de l'homme à porter plainte auprès de la commission sud-africaine des droits de l'homme.
Le ministre sud-africain de l'Intérieur, David Mahlobo, s'est engagé le 7 avril à réagir fortement aux attaques xénophobes mais pour Marc Gbaffou, président du forum des diasporas africaines, le gouvernement n'agit pas vraiment pour stopper les violences contre les étrangers.
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