C'est la SAFTU, la deuxième fédération syndicale du pays, opposée à l'ANC au pouvoir, qui est à l'origine de ce mouvement de grève.
Cette confédération compte près de 800 000 membres et ce mercredi, ils étaient des milliers à protester contre la mise en place du salaire minimum le mois prochain. Ils réclament plus de 3 fois la somme proposée par le gouvernement.
Au 1er mai, le salaire minimum devrait être établi a 1 dollar 60 centimes par heure, c'est une honte, un salaire d'esclave, ont lancé les manifestants.
Le président Cyril Ramaphosa et ses soutiens affirment que cela devrait permettre de réduire les inégalités et de relancer l'économie en berne.
Certains employeurs s'inquiètent eux de devoir mieux payer leurs personnels, certains assurent qu'ils ne peuvent pas se le permettre et que cette mesure ne va faire que gonfler les chiffres du chômage, déjà très élevés.
Mais les grévistes assurent qu'ils ne cèderont et qu'il faut de bien meilleurs salaires.
Ils ont aussi dénoncé l'introduction de nouvelles lois qui limitent selon eux le droit de grève.
Ces manifestations constituent le premier mouvement social d'importance auquel est confronté le président Cyril Ramaphosa, ancien syndicaliste devenu homme d'affaires à succès, alors qu'il doit aussi gérer un mouvement de protestation violent dans le Nord-Ouest du pays.
Cette confédération compte près de 800 000 membres et ce mercredi, ils étaient des milliers à protester contre la mise en place du salaire minimum le mois prochain. Ils réclament plus de 3 fois la somme proposée par le gouvernement.
Au 1er mai, le salaire minimum devrait être établi a 1 dollar 60 centimes par heure, c'est une honte, un salaire d'esclave, ont lancé les manifestants.
Le président Cyril Ramaphosa et ses soutiens affirment que cela devrait permettre de réduire les inégalités et de relancer l'économie en berne.
Certains employeurs s'inquiètent eux de devoir mieux payer leurs personnels, certains assurent qu'ils ne peuvent pas se le permettre et que cette mesure ne va faire que gonfler les chiffres du chômage, déjà très élevés.
Mais les grévistes assurent qu'ils ne cèderont et qu'il faut de bien meilleurs salaires.
Ils ont aussi dénoncé l'introduction de nouvelles lois qui limitent selon eux le droit de grève.
Ces manifestations constituent le premier mouvement social d'importance auquel est confronté le président Cyril Ramaphosa, ancien syndicaliste devenu homme d'affaires à succès, alors qu'il doit aussi gérer un mouvement de protestation violent dans le Nord-Ouest du pays.
Autres articles
-
Qualité dans l'enseignement supérieur : l'UCAD met en place le projet QADoc
-
Découverte macabre au large du Brésil : Neuf cadavres identifiés comme des migrants en provenance de Mauritanie et du Mali
-
Au moins cinq migrants décédés lors d'une tentative de traversée de la Manche
-
États-Unis: Donald Trump est arrivé au tribunal pour l'ouverture des débats à son procès pénal
-
Le chef du renseignement militaire israélien démissionne suite à l'attaque du Hamas le 7 octobre