Lors de sa visite, la ministre a eu l’occasion de constater les progrès réalisés sur les différents sites, notamment le village olympique, qui doit héberger les athlètes lors de cet événement d'envergure internationale. Parmi les 13 bâtiments prévus pour le village olympique, 7 ont déjà été achevés, tandis que 6 autres sont encore en construction. La première étape de sa tournée l’a conduite à l'Université Amadou Makhtar, à Diamniadio, où l’une des infrastructures clés est en développement.
Cependant, la ministre a exprimé une certaine inquiétude en ce qui concerne les travaux en cours. « Je ne veux pas encore dire que je suis rassurée ou que je ne le suis pas », a déclaré Khady Diène Gaye, soulignant son sentiment de prudence face aux retards constatés. Sur le terrain, elle a noté que, dans certains cas, les constructions sont encore à un stade embryonnaire, avec des fondations en place, mais aucun bâtiment encore visible.
Lors de sa visite, la ministre était accompagnée de la directrice du CROUS de l'Université Amadou Makhtar Mbow, qui gère une partie des sites. Malheureusement, elle a constaté que des travaux importants étaient toujours en suspens, notamment dans la partie qui concerne les infrastructures devant accueillir les athlètes.
Khady Diène Gaye a mis en lumière un des principaux obstacles à l’avancement des travaux : les retards de paiement. Ces retards auraient entravé le bon déroulement du chantier, empêchant certaines entreprises de poursuivre les travaux dans les délais prévus. Selon elle, ces problèmes financiers expliqueraient les lenteurs observées sur le terrain.
Elle a aussi insisté sur la nécessité de respecter les délais de livraison afin de garantir la bonne organisation des JOJ Dakar 2026. La ministre a rappelé que cet événement doit être une vitrine pour le pays et que toute négligence dans les travaux pourrait avoir des conséquences sur l’image du Sénégal sur la scène internationale.
Cependant, la ministre a exprimé une certaine inquiétude en ce qui concerne les travaux en cours. « Je ne veux pas encore dire que je suis rassurée ou que je ne le suis pas », a déclaré Khady Diène Gaye, soulignant son sentiment de prudence face aux retards constatés. Sur le terrain, elle a noté que, dans certains cas, les constructions sont encore à un stade embryonnaire, avec des fondations en place, mais aucun bâtiment encore visible.
Lors de sa visite, la ministre était accompagnée de la directrice du CROUS de l'Université Amadou Makhtar Mbow, qui gère une partie des sites. Malheureusement, elle a constaté que des travaux importants étaient toujours en suspens, notamment dans la partie qui concerne les infrastructures devant accueillir les athlètes.
Khady Diène Gaye a mis en lumière un des principaux obstacles à l’avancement des travaux : les retards de paiement. Ces retards auraient entravé le bon déroulement du chantier, empêchant certaines entreprises de poursuivre les travaux dans les délais prévus. Selon elle, ces problèmes financiers expliqueraient les lenteurs observées sur le terrain.
Elle a aussi insisté sur la nécessité de respecter les délais de livraison afin de garantir la bonne organisation des JOJ Dakar 2026. La ministre a rappelé que cet événement doit être une vitrine pour le pays et que toute négligence dans les travaux pourrait avoir des conséquences sur l’image du Sénégal sur la scène internationale.
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