Le livreur Mamadou Ndiaye avait quitté vers 19h la cité Mixta sur sa moto de marque Honda SH pour se rendre à la cité Djily Mbaye pour livrer un colis. une fois sur les lieux, il prend le soin de verrouiller le guidon de la moto avant de monter au premier étage d’un immeuble. Au sa sortie de l’immeuble, la moto avait disparu ! C’est ainsi qu’un individu qui était dans son véhicule lui a indiqué avoir vu deux personnes prendre la direction qui mène vers les cimetières de Yoff avec l’engin à deux roues. Disponible, le conducteur a décidé de prendre le malheureux livreur à bord de son véhicule pour se lancer à la poursuite des malfrats. C’est au niveau du cimetière de Yoff qu’ils les ont effectivement retrouvés.
Pour bénéficier de secours, ils ont crié au voleur, ce qui a fait sortir le voisinage. Mais, très futés, les deux malfrats ont voulu semer le doute dans la tête des gens en soutenant qu’ils venaient d’être victimes d’agression. C’était peine perdue. C’est ainsi qu’ils ont passé un sale quart d’heure entre les Charles Mendes se lave à grande eau et enfonce son acolyte Baye Niass mains d’une foule déchaînée. Ils ne durent leur salut qu’à un agent de police qui est venu les extirper de la vindicte populaire. ils ont profité de la confusion pour prendre la fuite. Mais leur cavale ne dura pas longtemps car les éléments de la police des Parcelles Assainies ont fini par les retrouver.
Bien entendu, face aux limiers, ils ont nié les faits avant de s’accuser mutuellement. chacun se déchargeant sur l’autre, servant des arguments Finalement, et malgré leurs dénégations, ils ont été déférés au parquet en attendant d’être fixés sur leur sort.
Le Témoin
Pour bénéficier de secours, ils ont crié au voleur, ce qui a fait sortir le voisinage. Mais, très futés, les deux malfrats ont voulu semer le doute dans la tête des gens en soutenant qu’ils venaient d’être victimes d’agression. C’était peine perdue. C’est ainsi qu’ils ont passé un sale quart d’heure entre les Charles Mendes se lave à grande eau et enfonce son acolyte Baye Niass mains d’une foule déchaînée. Ils ne durent leur salut qu’à un agent de police qui est venu les extirper de la vindicte populaire. ils ont profité de la confusion pour prendre la fuite. Mais leur cavale ne dura pas longtemps car les éléments de la police des Parcelles Assainies ont fini par les retrouver.
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