« Aujourd’hui après sa sortie, les avocats de l’Etat m’ont saisi et demandé que notre loi s’applique et Me Wade sera traduit en novembre prochain à la rentrée au Conseil de l’Ordre des avocats», a déclaré ce dimanche Me Mbaye Guèye dans l’émission Grand Jury de la RFM. Le Conseil de l’ordre, les journalistes ont compris le conseil de discipline comme c’est aujourd’hui dans l’ère du temps avec les rébellions feutrées notées dans les camps et états majors politiques ces derniers temps.
En effet, le Conseil de l’ordre est une étape préalable au conseil de discipline. Ce sont les membres du Conseil de l’ordre qui statuent et décident si un confrère avocat mérite de passer dans ce «tribunal des pairs».
Renseignements pris auprès de certains amis avocats, l’information a été confirmée. Me Abdoulaye Wade ne va pas être traduit devant le Conseil de discipline sans que le Conseil de l’ordre n’en décide.
La décision de traduire Me Abdoulaye Wade devant le Conseil de l’ordre est consécutive à une saisine des avocats de l’Etat qui ont estimé que l’ancien chef de l’Etat a porté atteinte à leur honneur en les qualifiant «d’escrocs». A ce propos, le bâtonnier de l’ordre des avocats a tenu à souligner : «un avocat ne peut pas publiquement traiter son confrère d’escroc qui ne fait que réclamer ses honoraires. Ce n’est pas possible malgré tout le respect et la considération que nous devons à notre confrère Abdoulaye Wade, il ne peut pas s’exprimer de cette façon».
En effet, le Conseil de l’ordre est une étape préalable au conseil de discipline. Ce sont les membres du Conseil de l’ordre qui statuent et décident si un confrère avocat mérite de passer dans ce «tribunal des pairs».
Renseignements pris auprès de certains amis avocats, l’information a été confirmée. Me Abdoulaye Wade ne va pas être traduit devant le Conseil de discipline sans que le Conseil de l’ordre n’en décide.
La décision de traduire Me Abdoulaye Wade devant le Conseil de l’ordre est consécutive à une saisine des avocats de l’Etat qui ont estimé que l’ancien chef de l’Etat a porté atteinte à leur honneur en les qualifiant «d’escrocs». A ce propos, le bâtonnier de l’ordre des avocats a tenu à souligner : «un avocat ne peut pas publiquement traiter son confrère d’escroc qui ne fait que réclamer ses honoraires. Ce n’est pas possible malgré tout le respect et la considération que nous devons à notre confrère Abdoulaye Wade, il ne peut pas s’exprimer de cette façon».
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