Ce triste constat est fait par le Médecin-chef de l’établissement sanitaire, à l’occasion de la journée mondiale de la santé mentale célébrée ce 10 octobre. « Le nombre de patients que nous recevons par année ne cesse d’accroitre. Nous recevons environ 7000 malades par année. Chaque année, nous constatons une augmentation de ce nombre », révèle le psychiatre Adama Coundoul.
Et d’ajouter : « De plus en plus, les gens ont tendance à connaitre l’existence de ce centre très réputé pour ses résultats dans le domaine de la prise en charge des déficients mentaux au niveau de la zone sud du pays et dans des pays limitrophes comme la Gambie, la Guinée Bissau ou encore la Guinée Conakry ».
Spécialisé dans la prise en charge des différentes affections relevant des troubles mentaux, à savoir les psychoses, les névroses, les troubles d’humeur, les pathologies liées à la consommation de substances psychoactives, entre autres, le Centre psychiatrique Emile Badiane de Ziguinchor dispose d’une équipe spécialisée dans la prise en charge de ces types de maladies à travers des séances de consultation et un suivi médical.
« Nous observons une pause tous les mercredis. Cette pause ne signifie pas de repos pour l’équipe médicale mais elle lui permet plutôt de faire un meilleur suivi pour les malades mentaux en hospitalisation », indique le psychiatre.
Avec APS.
Et d’ajouter : « De plus en plus, les gens ont tendance à connaitre l’existence de ce centre très réputé pour ses résultats dans le domaine de la prise en charge des déficients mentaux au niveau de la zone sud du pays et dans des pays limitrophes comme la Gambie, la Guinée Bissau ou encore la Guinée Conakry ».
Spécialisé dans la prise en charge des différentes affections relevant des troubles mentaux, à savoir les psychoses, les névroses, les troubles d’humeur, les pathologies liées à la consommation de substances psychoactives, entre autres, le Centre psychiatrique Emile Badiane de Ziguinchor dispose d’une équipe spécialisée dans la prise en charge de ces types de maladies à travers des séances de consultation et un suivi médical.
« Nous observons une pause tous les mercredis. Cette pause ne signifie pas de repos pour l’équipe médicale mais elle lui permet plutôt de faire un meilleur suivi pour les malades mentaux en hospitalisation », indique le psychiatre.
Avec APS.
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