
Ils étaient entre 200 et 300 manifestants à Paris à crier "liberté ! liberté !" et un millier à Londres pour réclamer "la fin de la tyrannie médicale". Mais c'est à Berlin qu"ils étaient le plus nombreux : 38 000 personnes se sont rassemblées pour dénoncer les restrictions imposées face à l'épidémie de Covid. La police allemande a dû disperser la foule et procédé à 300 interpellations, les participants n'ayant pas respecté les consignes en matière de distanciation sociale et de port du masque.
Selon le ministre de l'Intérieur de la ville Andreas Geisel, environ 200 d'entre eux ont été interpelés devant l'ambassade russe, après avoir lancé des pierres et bouteilles sur les policiers, et la plupart remis en liberté ensuite. Il n'y a pas eu de blessés.
Dans la soirée, un groupe a également franchi des barrières autour du Reichstag, qui abrite le parlement, avant d'être repoussé sans ménagement par les policiers, selon un photographe de l'AFP.
En Allemagne, les organisateurs du meeting appelaient "à la fin de toutes les restrictions en place" pour combattre le nouveau coronavirus. Auparavant, la police avait interrompu un défilé, faute de respect des gestes barrières.
Après la demande de dispersion du défilé à Berlin en début d'après-midi, les manifestants étaient restés sur place, criant "résistance !", puis "nous sommes le peuple !", un slogan employé par l'extrême droite. Ils ont à plusieurs reprises chanté l'hymne national allemand.
Intitulé "fête de la liberté et de la paix", l'événement, qui rassemble "libres penseurs", militants antivaccins, conspirationnistes ou encore sympathisants d'extrême droite, constitue le second du genre en un mois et inquiète les autorités.
Selon le ministre de l'Intérieur de la ville Andreas Geisel, environ 200 d'entre eux ont été interpelés devant l'ambassade russe, après avoir lancé des pierres et bouteilles sur les policiers, et la plupart remis en liberté ensuite. Il n'y a pas eu de blessés.
Dans la soirée, un groupe a également franchi des barrières autour du Reichstag, qui abrite le parlement, avant d'être repoussé sans ménagement par les policiers, selon un photographe de l'AFP.
En Allemagne, les organisateurs du meeting appelaient "à la fin de toutes les restrictions en place" pour combattre le nouveau coronavirus. Auparavant, la police avait interrompu un défilé, faute de respect des gestes barrières.
Après la demande de dispersion du défilé à Berlin en début d'après-midi, les manifestants étaient restés sur place, criant "résistance !", puis "nous sommes le peuple !", un slogan employé par l'extrême droite. Ils ont à plusieurs reprises chanté l'hymne national allemand.
Intitulé "fête de la liberté et de la paix", l'événement, qui rassemble "libres penseurs", militants antivaccins, conspirationnistes ou encore sympathisants d'extrême droite, constitue le second du genre en un mois et inquiète les autorités.
Autres articles
-
UE : Monaco placé sur la liste noire pour le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme
-
Plusieurs morts dans une école en Autriche après des tirs, selon les médias
-
Burkina: Traoré fustige les tentatives de division de l’AES
-
Bateau pour Gaza: un des six Français a accepté son expulsion, les autres présentés à un juge
-
Conférence sur l’océan: bientôt l'entrée en vigueur du traité sur la haute mer, protecteur de la biodiversité?