La guerre au Haut-Karabakh continue de faire rage. L'Azerbaïdjan, qui veut réintégrer cette région séparatiste majoritairement peuplée d'Arméniens dans son territoire national, affirme que son armée continue de progresser et de reprendre des villages. Non loin du front, côté azéri, des habitants supportent tant bien que mal le quotidien. Entre deux déflagrations, ils ont accepté de se confier à une équipe de France 24.
À quelques kilomètres du front, une poignée d’habitants se réunit tous les jours sur les hauteurs de leur village. "Nous croyons en notre président, on se tient à ses côtés comme ça !, soutient un habitant le poing serré. Et s'il faut aller au front, alors on ira !"
Le soutien aux forces armées s'affiche partout, face aux caméras de France 24, personne ne se plaint de la guerre. Dans la ville la plus proche, les habitants concèdent que la guerre a ralenti l'activité économique. Pourtant, dans l'une des boulangeries, les femmes qui y travaillent ne comptent plus les heures. "On sert tous ceux qui le demandent, et on envoie aussi au front, à nos soldats", explique une boulangère affairée à enfourner des pains. "On cuisine et on les nourrit comme des mères, comme des tantes, on considère que c'est notre devoir", assure une autre.
La fierté et la solidarité nationales sont telles que personne ne souhaite que la guerre s’arrête. Au contraire, tous souhaitent qu’elle continue.
À quelques kilomètres du front, une poignée d’habitants se réunit tous les jours sur les hauteurs de leur village. "Nous croyons en notre président, on se tient à ses côtés comme ça !, soutient un habitant le poing serré. Et s'il faut aller au front, alors on ira !"
Le soutien aux forces armées s'affiche partout, face aux caméras de France 24, personne ne se plaint de la guerre. Dans la ville la plus proche, les habitants concèdent que la guerre a ralenti l'activité économique. Pourtant, dans l'une des boulangeries, les femmes qui y travaillent ne comptent plus les heures. "On sert tous ceux qui le demandent, et on envoie aussi au front, à nos soldats", explique une boulangère affairée à enfourner des pains. "On cuisine et on les nourrit comme des mères, comme des tantes, on considère que c'est notre devoir", assure une autre.
La fierté et la solidarité nationales sont telles que personne ne souhaite que la guerre s’arrête. Au contraire, tous souhaitent qu’elle continue.
Autres articles
-
France: l’ex-Premier ministre François Fillon définitivement coupable pour des emplois fictifs
-
Gaza: le ministère de la Santé du Hamas annonce un nouveau bilan de 34262 morts
-
RDC: scandale autour du coût de construction d'un millier de stations de traitement d'eau
-
Qualité dans l'enseignement supérieur : l'UCAD met en place le projet QADoc
-
Découverte macabre au large du Brésil : Neuf cadavres identifiés comme des migrants en provenance de Mauritanie et du Mali