Basma Khalfaoui au cours d'une manifestation à Tunis en février 2013
Basma Khalfaoui, cheveux poivre et sel, lunettes carrées et tête haute, continue le combat aux côtés du parti fondé par Chokri Belaïd, le Mouvement des patriotes démocrates unifiés, le Watad.
Depuis l’assassinat de son mari, on la trouve aussi bien à la Une des journaux tunisiens que sur les plateaux de télévision français. Sans répit. Dans la rue, elle se laisse aborder avec simplicité.
Lors de l’hommage rendu, samedi 16 mars, sur la tombe de Chokri Belaïd, on l’a vue, entre bouquets et poignées de mains, meurtrie au bord des larmes, mais déterminée. C’est elle qui a pris la tête de la manifestation qui a suivi. C'est encore elle qui a fait lever la foule ce dimanche 17 mars depuis la scène du meeting organisée par le Front populaire, la coalition de gauche. A l’aise dans ses habits de femme politique, elle est repartie sous les applaudissements.
Justice sociale, liberté, démocratie, Basma Khalfaoui a salué le chemin parcouru par son époux. Elle a également salué la jeunesse créative promettant de ne pas « se taire face à la violence » et de ne pas « baisser les bras ». Et a quitté la scène, ce jour-là, le V de la victoire au bout des doigts.
Source :Rfi.fr
Depuis l’assassinat de son mari, on la trouve aussi bien à la Une des journaux tunisiens que sur les plateaux de télévision français. Sans répit. Dans la rue, elle se laisse aborder avec simplicité.
Lors de l’hommage rendu, samedi 16 mars, sur la tombe de Chokri Belaïd, on l’a vue, entre bouquets et poignées de mains, meurtrie au bord des larmes, mais déterminée. C’est elle qui a pris la tête de la manifestation qui a suivi. C'est encore elle qui a fait lever la foule ce dimanche 17 mars depuis la scène du meeting organisée par le Front populaire, la coalition de gauche. A l’aise dans ses habits de femme politique, elle est repartie sous les applaudissements.
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