« Grande a été notre surprise de constater ces demandes d’explication et ces sommations interpellatrices servies par voie d’huissiers par la Direction générale à travers le capital humain, à des agents et à des délégués du personnel qui ont le seul tort d’avoir observé une grève de manière très licite. Et le comble, c’est cette série de notification de licenciement depuis vendredi dernier à ces gens qui n’ont commis aucune faute », a dénoncé le syndicat.
Les syndicalistes indiquent qu’il est reproché à l’un d’eux d’avoir tenu des « propos malveillants à l’endroit de la Direction générale à travers Facebook, ce que notre collègue a totalement récusé. Et au second, il lui est reproché d’avoir « personnalisé un oiseau en la personne de la Direction générale ».
« On demande à un autre de venir faire une passation de service durant la grève, il a refusé parce qu’il suivait le mot d’ordre et il a été licencié », ainsi le syndicat regrette cette situation et considère comme une « forfaiture, une injustice ».
« Nous sommes confrontés à des situations inhumaines. Nous n’avons reçu aucune explication valable du capital humain et nous sommes obligés de considérer ceci comme un cas manifeste et assumer de non-respect des conventions de l’organisation internationale du travail (OIT) et le code du travail sénégalais », ont regretté les syndicalistes.
Les syndicalistes indiquent qu’il est reproché à l’un d’eux d’avoir tenu des « propos malveillants à l’endroit de la Direction générale à travers Facebook, ce que notre collègue a totalement récusé. Et au second, il lui est reproché d’avoir « personnalisé un oiseau en la personne de la Direction générale ».
« On demande à un autre de venir faire une passation de service durant la grève, il a refusé parce qu’il suivait le mot d’ordre et il a été licencié », ainsi le syndicat regrette cette situation et considère comme une « forfaiture, une injustice ».
« Nous sommes confrontés à des situations inhumaines. Nous n’avons reçu aucune explication valable du capital humain et nous sommes obligés de considérer ceci comme un cas manifeste et assumer de non-respect des conventions de l’organisation internationale du travail (OIT) et le code du travail sénégalais », ont regretté les syndicalistes.
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