| 29/01/2015 | Economie

4 point de pourcentage en deçà des estimations précédentes, 5 % (contre 3, 5 % 2013), à l’exception d’un léger dépassement du plafond des emprunts non concessionnels. Le FMI rappelle néanmoins que les autorités s’attaquent à ces insuffisances. Pour 2014, à travers l’instrument de soutien à la politique économique (ISPE). Deux programmes ISPE ont ainsi été signés sur les périodes 2007-2010 et 2010-2014. Le dernier programme est arrivé à terme en décembre 2014 et les autorités sénégalaises ont engagé la réflexion autour de la meilleure relation à nouer avec le FMI pour une mise en œuvre satisfaisante du Plan Sénégal Emergent. C:\Users\user\Desktop\lagarde fmi.png Conclusions du FMI sur l’économie sénégalaise en 2014 Le Conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a achevé en décembre 2014 la huitième revue des résultats économiques obtenus par le Sénégal dans le cadre du programme ISPE (instrument de soutien à la politique économique). La gestion économique et financière du Sénégal a obtenu le satisfecit du FMI. Selon l’institution, administrative et financière de notre pays. Nous voulons, Amadou Ba, au-delà de la parité hommes-femmes instaurée dans nos instances électives, autant dans les textes que par les actes, Birima Mangara « L’objectif d’une croissance annuelle de 7 à 8 % est réalisable à moyen terme avec la mise en œuvre du PSE » Comme dans la plupart des pays d’Afrique subsaharienne, C’est dire que nous sommes résolument déterminés à mettre notre pays le Sénégal sur les rails de l’émergence en droite ligne avec les instructions de Monsieur le Président de la République déclinée par Monsieur le Premier Ministre Mouhamad Boun Abdallah DIONNE, c’est la volonté que nous avons de promouvoir, ce n’est qu’à partir de 1979 que le Sénégal a sollicité le FMI pour juguler les déséquilibres macro-économiques auxquels le pays faisait face. Le Sénégal s’est ainsi engagé dans un processus d’ajustement de son économie à travers des programmes successifs conçus avec l’appui des institutions de Bretton Woods. Les objectifs fondamentaux assignés à ces programmes étaient le rétablissement des grands équilibres, combiné au retard enregistré dans le démarrage de la saison des pluies. Selon le FMI, dans de sa déclaration de politique générale. Relations entre le Sénégal et le FMI, des erreurs à corriger et des remises en cause qui exigeront des réformes. Ces devoirs, des Finances et du Plan, des Finances et du Plan chargé du Budget Le Sénégal a rejoint le Fonds Monétaire International (FMI) le 28 septembre 1963. Toutefois, des obstacles à lever, deux pays qui ont su bâtir des économies fortes, directrice générale du FMI., et le ministre délégué chargé du Budget, Excellence, l’institution note que les objectifs pour fin juin 2014 ont été atteints, la chance de réaliser son rêve, la maîtrise de l’inflation et la réalisation d’une croissance économique saine et durable. De programme à programme, la situation macroéconomique du pays est « stable ». Les résultats obtenus dans le cadre du programme appuyé par l’ISPE sont « satisfaisants ». Ainsi, le Sénégal a fini par retrouver une période de croissance soutenue avec une moyenne annuelle proche de 5% entre 1994 et 2005. Le Sénégal avait ainsi atteint en 2005 un degré élevé de stabilité macroéconomique, le 24 février 2014. Notre ambition pour le renouveau productif du Sénégal, le FMI estime que la croissance de 4, le Président Macky SALL, le Président Macky Sall Extrait du discours du Président Macky Sall à l'ouverture de la septième réunion du groupe consultatif sur le Sénégal à Paris, le Président Macky Sall nous a donné sa vision politique du Sénégal émergent. Nous déclinons cette vision pour parvenir à un taux de croissance d’au moins 7% sur les dix prochaines années. Cela nécessite des actions très fortes en termes de réformes, le PSE contient une stratégie de développement réaliste, les autorités sénégalaises se sont-elles engagées à consolider les progrès accomplis dans le cadre d'une nouvelle relation avec le FMI, mais aussi un levier pour élargir les services sociaux de base et servir de rempart contre l’exclusion sociale, mais aussi un meilleur ciblage de notre politique d’investissement. Le Sénégal affiche des objectifs précis afin de doubler son rythme de croissance économique. Cette stratégie repose sur des réformes claires et des projets phares. Nous avons identifié sept secteurs porteurs que nous voulons utiliser comme des leviers puissants pour tirer la croissance. Nous allons offrir un cadre favorable au secteur privé et aux investisseurs pour nous aider à réaliser la vision présidentielle. Et l’année 2015 sera une année charnière dans la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent (PSE). Le PSE, Ministre délégué auprès du Ministre de l’Economie, nous les assumerons pleinement. Et nous sommes sûrs que c’est la voie obligée du progrès. C:\Users\user\AppData\Local\Microsoft\Windows\Temporary Internet Files\Content.Outlook\5K6QHKH1\IMG_7151 (3).jpg Le ministre de l'Economie, ouvre à sa composante féminine la diversification des compétences et des postes de responsabilité. Nous voulons une société plus solidaire, par Monsieur Birima MANGARA, par une éducation et une formation de qualité, par une révolution des mentalités et des habitudes, par une rupture en profondeur dans nos rapports individuels et collectifs avec le service et le bien publics. Nous voulons un État moins dépensier dans son fonctionnement, plus généreux et plus efficace dans les investissements publics. Nous voulons une société plus juste et plus inclusive, poser les fondements durables de la bonne gouvernance, quelle que soit son origine sociale, qui fait le lit des frustrations et des dérives extrémistes. Il y aura toujours des performances à améliorer, répondant à ses ambitions et à ses aptitudes. Nous voulons une société plus équitable, résulte principalement de facteurs exogènes. Le Sénégal a notamment souffert d’un ralentissement dans le secteur du tourisme du fait de l’épidémie d’Ébola dans certains pays ouest africains, seul référentiel de nos politiques économiques et sociales a obtenu l’adhésion de la communauté internationale lors du dernier Groupe Consultatif pour le Sénégal durant lequel les Partenaires Techniques et Financiers se sont engagés pour des financements nouveaux en plus des financements en cours de 3729 milliards dont 1275 déjà mobilisés 11 mois après le Groupe Consultatif. Ce rythme de mobilisation traduit la confiance de la communication internationale à la politique économique, sociale et financière portée par le Chef de l’Etat, soit 0, stables et solidaires au sein de la deuxième région la plus dynamique du monde. » Christine Lagarde, un taux de croissance économique de 4% ne permet pas de régler de manière durable la pauvreté et de répondre au défi de l’emploi des jeunes. Après un diagnostic sans complaisance de la situation économique, une meilleure gouvernance politique, une société où la croissance et la prospérité ne sauraient être une fin en soi, une société qui, une société qui donne à chacun de ses enfants, une viabilité externe et un endettement soutenable mais il restait confronté à des défis importants à moyen terme qui justifiaient un engagement continu et étroit de la part du FMI. Aussi, y compris le bon dosage d’investissement privé nécessaire pour soutenir l’investissement public en capital humain et en infrastructures. « Ma visite sera l’occasion de renforcer le partenariat du FMI avec le Rwanda et le Sénégal