Face aux récentes vagues de licenciements dans certaines entreprises publiques, le ministre a précisé que l'État n'a en aucun cas l'intention de mettre des fonctionnaires au chômage. Il a souligné que ces décisions de réduction de personnel s'inscrivent dans un processus de restructuration visant à rendre viables des entreprises publiques en difficulté financière. "Il est clair que certaines entreprises se sont retrouvées avec des sureffectifs. Par exemple, une entreprise qui a besoin de 20 employés se retrouve avec 60, ce qui rend nécessaire une restructuration", a expliqué le ministre.
Le ministre a précisé que cette restructuration n'a pas pour objectif de nuire aux employés, mais plutôt de rationaliser les dépenses des entreprises publiques. "Cela demande tout de suite une restructuration pour rendre ces entreprises viables", a-t-il insisté, tout en rassurant que des mesures sont en cours pour juguler les problèmes rencontrés par ces entreprises.
Concernant les licenciements, le ministre a reconnu qu'ils se justifiaient par la nécessité de rendre certaines entreprises plus efficaces et moins coûteuses pour l'État. "Ce n'est nullement la volonté de mettre les gens au chômage, mais c'est dans une volonté de rationaliser un peu les dépenses de ces entreprises", a ajouté Olivier Boucal. Il a également souligné qu'un dispositif était mis en place pour gérer et résoudre les problèmes économiques et structurels affectant ces entreprises publiques.
Dans un contexte marqué par des tensions politiques, notamment avec le soutien du parti Pastef auprès des jeunes, Olivier Boucal a insisté sur le fait que ces mesures étaient nécessaires pour la santé financière des entreprises publiques et pour maintenir la viabilité à long terme de l'État.
Le ministre a précisé que cette restructuration n'a pas pour objectif de nuire aux employés, mais plutôt de rationaliser les dépenses des entreprises publiques. "Cela demande tout de suite une restructuration pour rendre ces entreprises viables", a-t-il insisté, tout en rassurant que des mesures sont en cours pour juguler les problèmes rencontrés par ces entreprises.
Concernant les licenciements, le ministre a reconnu qu'ils se justifiaient par la nécessité de rendre certaines entreprises plus efficaces et moins coûteuses pour l'État. "Ce n'est nullement la volonté de mettre les gens au chômage, mais c'est dans une volonté de rationaliser un peu les dépenses de ces entreprises", a ajouté Olivier Boucal. Il a également souligné qu'un dispositif était mis en place pour gérer et résoudre les problèmes économiques et structurels affectant ces entreprises publiques.
Dans un contexte marqué par des tensions politiques, notamment avec le soutien du parti Pastef auprès des jeunes, Olivier Boucal a insisté sur le fait que ces mesures étaient nécessaires pour la santé financière des entreprises publiques et pour maintenir la viabilité à long terme de l'État.
Autres articles
-
Dette publique, PIB : Ibrahima Ndiaye alerte « en 2027, la dette ne sera plus tenable »
-
Soutien au secteur privé : Ibrahima Ndiaye plaide pour des réformes structurelles et une meilleure circulation de l’information
-
Souveraineté économique : Ibrahima Ndiaye appelle à une industrialisation fondée sur le renforcement du privé
-
Hélène Tine salue la sobriété de la tournée de Diomaye Faye et y voit un tournant pour la paix en Casamance
-
Crise au sommet de l’Etat : l'alerte de Tamba Danfakha sur la fuite des investisseurs





Dette publique, PIB : Ibrahima Ndiaye alerte « en 2027, la dette ne sera plus tenable »


