Une plateforme qui rassemble les engagements communs à l’UPEC a été adoptée. Elle dénonce notamment les manquements démocratiques qui sévissent à l'échelle du continent.
« Engageons-nous pour changer notre Africa » : ce sont les paroles de l’hymne qui clôture la 1ère édition de l’Université populaire de l’engagement citoyen (UPEC). Pour la militante et chanteuse burundaise Khadja Nin, interdite de rentrer dans son pays, c’est un moment de communion. « Écoutez-les chanter. Nous sommes tellement heureux de nous être retrouvés, parce que tout le monde connaît l’existence de l’autre ».
Ces mouvements de lutte ont pour la plupart à peine dix ans d’existence et leur engagement sur le terrain est souvent dangereux. Alors, explique Fadel Barro du mouvement sénégalais « Y en a marre », il faut veiller et se protéger les uns les autres. « Il y a un réseau panafricain qui s’est aujourd’hui consolidé, qui engage une procédure de solidarité panafricaine d’assistance et d’autoassistance aux jeunes qui sont en difficulté à cause de leur engagement ».
Dans le public, Marie-Thérèse Diedhiou, ancienne femme politique, est venue tous les jours écouter les débats. « Ça m’a donné de l’espoir que les choses vont changer en Afrique, que tous ces dirigeants-là vont être dégagés ».
Ces rencontres de Dakar restent une première : jamais autant d’activistes du continent ne s’étaient retrouvés ensemble pour débattre, et ce sans aucune censure, de leur avenir.
Source : RFI
« Engageons-nous pour changer notre Africa » : ce sont les paroles de l’hymne qui clôture la 1ère édition de l’Université populaire de l’engagement citoyen (UPEC). Pour la militante et chanteuse burundaise Khadja Nin, interdite de rentrer dans son pays, c’est un moment de communion. « Écoutez-les chanter. Nous sommes tellement heureux de nous être retrouvés, parce que tout le monde connaît l’existence de l’autre ».
Ces mouvements de lutte ont pour la plupart à peine dix ans d’existence et leur engagement sur le terrain est souvent dangereux. Alors, explique Fadel Barro du mouvement sénégalais « Y en a marre », il faut veiller et se protéger les uns les autres. « Il y a un réseau panafricain qui s’est aujourd’hui consolidé, qui engage une procédure de solidarité panafricaine d’assistance et d’autoassistance aux jeunes qui sont en difficulté à cause de leur engagement ».
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