Le journaliste chercheur en Sicineces politiques, Cheikh Diallo, par ailleurs Conseiller en Communication du ministre d’Etat, ministre de la Coopération internationale, des Infrastructures, des Transports aériens et de l’Energie a lancé une grosse pierre dans le jardin de la coalition Bennoo Siggil Senegaal. Invité à l’émission «Opinion» de Walf/Tv, l’écrivain a déclaré que les effors de Bennoo ne peuvent pas ne pourront pas dépasser ceux des fils idéologiques de Me Wade, à savoir Macky Sall et Idrissa Seck.
«J’ai beaucoup de respect pour l’opposition (Benno). Mais au regard des enjeux de 2007, et maintenant avec l’arrivé e Macky Sall, je ne pense pas que dans la compétition, les deux enfants idéologiques de Me Abdoulaye Wade, par ailleurs Président de la République», a soutenu Cheikh Diallo. «Je le tiens avec gravité et avec respect pour l’opposition», a juré le journaliste qui estime que Wade ne doit pas s’empêcher de repêcher de gros calibres pour les prochaines joutes électorales. «D’ailleurs je ne pense que le Président de la République puisse se permettre le luxe d’avoir en face de lui son Moustapha Niasse et son Djibo Kâ en 2012», a fait remarquer. «Non, ce n’est pas possible même si je ne sais pas de quoi demain sera fait», a-t-il poursuivi.
«Je serais à la place du Président que je ne m’autoriserai pas à penser avoir en face de moi mes deux enfants», a-t-il martelé.
«J’ai beaucoup de respect pour l’opposition (Benno). Mais au regard des enjeux de 2007, et maintenant avec l’arrivé e Macky Sall, je ne pense pas que dans la compétition, les deux enfants idéologiques de Me Abdoulaye Wade, par ailleurs Président de la République», a soutenu Cheikh Diallo. «Je le tiens avec gravité et avec respect pour l’opposition», a juré le journaliste qui estime que Wade ne doit pas s’empêcher de repêcher de gros calibres pour les prochaines joutes électorales. «D’ailleurs je ne pense que le Président de la République puisse se permettre le luxe d’avoir en face de lui son Moustapha Niasse et son Djibo Kâ en 2012», a fait remarquer. «Non, ce n’est pas possible même si je ne sais pas de quoi demain sera fait», a-t-il poursuivi.
«Je serais à la place du Président que je ne m’autoriserai pas à penser avoir en face de moi mes deux enfants», a-t-il martelé.
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