C'est un coup dur pour le principal Réseau de défenseur des droits humains d'Afrique centrale (Redhac). Un incendie a ravagé le siège de l'organisation à Douala, dans la nuit de dimanche à lundi. Toutes les archives du réseau qui avaient été rassemblées pour en faire un centre de documentation ont brûlé, rapporte Rfi.
Cela représente deux ans de nos recherches, de nos publications au niveau des pays d’Afrique centrale. Ce n’est pas seulement une perte pour le Cameroun. C’est les travaux de la RDC, c’est le travail du Gabon avec la question des élections et des violations des droits humains. C’est le travail du Tchad, c’est le travail de la Guinée équatoriale avec l’arrestation, la détention arbitraire de tous nos collaborateurs.
Les circonstances de cet incendie restent floues. L'avocat du Redhac privilégie cependant la piste criminelle et promet de porter plainte ce mardi.
Cela représente deux ans de nos recherches, de nos publications au niveau des pays d’Afrique centrale. Ce n’est pas seulement une perte pour le Cameroun. C’est les travaux de la RDC, c’est le travail du Gabon avec la question des élections et des violations des droits humains. C’est le travail du Tchad, c’est le travail de la Guinée équatoriale avec l’arrestation, la détention arbitraire de tous nos collaborateurs.
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