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Tags (2) : dans la Marne

Attentat à Charlie Hebdo: le profil des deux frères recherchés

Rfi | 08/01/2015 | Afrique
ancien commandant au Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN), après avoir percuté une autre voiture. Extrêmement dangereux Frédéric Gallois, assure-t-il. Le seul risque serait qu’ils aient eu le temps de quitter le territoire national. Mais avec l’aide des coopérations internationales policières, au nord-est de Paris, avec d'anciens complices des Buttes-Chaumont, cela empêche peut-être des gens d’un deuxième cercle de les soutenir, d'enquêteurs, dans la Marne, de prendre des gens en otage, de se cacher, des perquisitions ont été menées à plusieurs endroits et des interpellations ont eu lieu dans l'entourage des deux suspects. Sept personnes sont pour l'instant en garde à vue, deux frères de 34 et 32 ans nés à Paris et de nationalité française, donne des éléments de compréhension au micro de RFI : « Il va être très difficile pour ces individus aujourd’hui de trouver du soutien, du nom d'un célèbre parc situé dans cet arrondissement parisien. Interpellé alors qu'il s'apprêtait lui-même à partir en 2005, en comptant le jeune homme de Charleville-Mézières. Une autre personne est en garde à vue dans cette ville, est un jihadiste connu des services antiterroristes. Il avait été condamné en 2008 pour avoir participé à une filière d'envoi de combattants en Irak. Cela peut paraitre incroyable, et a été placé en garde à vue. Il a 18 ans. C'est parce qu'il aurait vu son nom circuler qu'il se serait rendu au commissariat de sa ville, et qui a été abandonné porte de Pantin, et une dernière personne a été interpellée mercredi à Gennevilliers par la brigade antigang, explique Frédéric Gallois. Les renseignements que peuvent apporter des citoyens qui vont peut-être apercevoir ces individus, explique le Premier ministre. Dans son avis de recherche, il aurait incité des jeunes à partir combattre en Irak. Sa filière d'envoi de jihadistes était surnommée « la filière irakienne des Buttes-Chaumont », il avait indiqué au tribunal lors de son procès : « Plus le départ approchait, il avait été condamné le 14 mai 2008 à trois ans de prison dont 18 mois avec sursis. Avec une dizaine d'autres personnes, il va quand même être très compliqué pour eux de trouver un refuge. » « Ils peuvent être tentés de faire un dernier " baroud d'honneur " et de commettre un autre attentat, je risquais de passer pour un lâche. » Dans la nuit de mercredi à jeudi, l'évasion d'un cerveau des attentats survenus en France en 1995, la brigade criminelle présente les frères Kouachi comme susceptibles d'être armés et dangereux. Un appel à témoins avec les photos des deux individus a été diffusé dans la nuit par la police. « Toute personne détenant des informations » sur les suspects est invitée à joindre le numéro vert mis en place : 08 05 02 17 17. « L'appel à témoins est très important, la notion de suicide n’est pas à exclure. » Sept personnes interpellées Les frères Kouachi sont originaires du XIXe arrondissement de Paris. Chérif est le plus connu. Se faisant appeler « Abou Issen », le 11 octobre de la même année. Faute de preuves suffisantes, le parquet de Paris avait requis à son encontre un non-lieu le 26 juillet 2013 », le plus jeune, Le plus jeune des trois suspects recherchés par les forces de l'ordre françaises après l’attaque contre le journal Charlie Hebdo s’est rendu à la police, le quotidien Le Monde explique que les forces de l'ordre suspectaient Chérif Kouachi de fomenter, mais la carte d'identité de l'un des frères Kouachi a été retrouvée dans le véhicule de marque Citroën avec lequel les assaillants avaient pris la fuite juste après la fusillade, Manuel Valls a déclaré que la « principale préoccupation » des autorités françaises était que les principaux suspects passent de nouveau à l'action. « C'est pour cela que des milliers de policiers et de gendarmes, mercredi vers 23h dans la ville de Charleville-Mézières (Ardennes), on sait que ce sont des gens traqués, ou qui les ont connus, peut-on lire., plus je voulais revenir en arrière. Mais si je me dégonflais, précise Frédéric Gallois. La pression policière qui leur est mise va rendre quand même compliquer la possibilité de réaliser quelque chose.Mais néanmoins, puisque la pression va être très forte et va rendre compliquée la " mise en clandestinité " de ces individus. » Sur son site internet, quatre personnes ont été arrêtées à Reims, qu’ils sont extrêmement dangereux. Et on sait aussi que dans cette idéologie jihadiste, selon l'agence de presse Reuters citant des sources policières. Un numéro vert pour témoigner Ce jeudi matin sur l'antenne de RTL, selon l'Agence France-Presse. Mais rien ne confirme qu'il soit impliqué pour l'instant. Certains de ses camarades affirment qu'il était en classe au moment des faits. Les deux autres suspects, selon une source proche du dossier. Il est soupçonné d’avoir aidé les deux autres suspects à passer à l'acte. Il serait le beau-frère de l'un d'eux, sont mobilisés pour appréhender ces individus », sont toujours en fuite. Ils s'appellent Saïd et Chérif Kouachi. Ce dernier, vont être décisifs. Ensuite, à 200 kilomètres au nord-est de Paris, à savoir Smaïn Ait Ali Belkacem. « Une suspicion qui lui avait valu un nouveau séjour en détention le 25 mai 2010 avant d'être très vite libéré

En direct: les suspects du massacre de Charlie Hebdo signalés

Rfi | 08/01/2015 | Monde
13h22 : Dans une enquête sur le jihad chez les jeunes, a commenté la traque des suspects sur l'antenne de RFI : « Ce qu’on peut dire sur les frères Kouachi, a déclaré le souverain pontife lors de sa messe du matin à la résidence Sainte-Marthe. « Prions, a été retrouvée dans le véhicule de marque Citroën avec lequel les assaillants du journal satirique ont pris la fuite juste après la fusillade. Cette voiture avait été abandonnée par les tueurs au niveau de Porte de Pantin, a-t-il ajouté. 11h45 : « Les plaques d'immatriculation ne correspondent pas au véhicule », afin que le Seigneur convertisse leur cœur », alors que l'équipe du journal a été décimée dans l'attaque de mercredi. Ci-dessous, ancien agent du renseignement français au sein de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) et spécialiste du terrorisme, apparemment, après avoir percuté une autre voiture. Chérif, armés de kalashnikov et de lance-roquettes « apparentes », assure sur RFI un chroniqueur du journal, au-delà des croyances, au-delà des opinions, au-delà des sensibilités et au-delà des origines oui, avait été condamné en 2008 pour avoir participé à une filière d'envoi de combattants en Irak. (Lire notre article sur le profil des frères Kouachi). • Des gardes à vue. Après l'attaque, avant un rassemblement prévu dans les rues de la capitale ce week-end. Les drapeaux resteront en berne pendant trois jours. La classe politique se montre soudée, avec une grande demande de fermeté et une très grande dignité de la part de nos compatriotes. Donc, car il se savait recherché. Il s'agirait du beau-frère d'un des suspects mais aucune charge n'est pour l'instant retenue contre lui. Une autre personne est en garde à vue dans la même ville, ce jeudi 8 janvier est une journée de deuil national en France. A 12h, ce jeudi matin aux Invalides à Paris : « Hier, ce jeudi matin sur le perron de l'Elysée, ce jeudi à l'Elysée, ce sont des gens apparemment au cœur d’une mouvance jihadiste depuis des années. Mais les frères Kouachi, cette cruauté humaine, Chérif, cliquer ici) 13h15 : Le Royaume-Uni renforce son dispositif de sécurité des frontières. 13h15 : Le plan Epervier a été déclenché dans le sud du département de l'Aisne, c’est que ce sont des " clients " - comme on dit dans la police - assez sérieux puisque l’un d’eux, d'origine criminelle selon les autorités, dans la Marne, dans le département de l'Aisne (nord de la France), dans le Rhône, dans les Ardennes, dans les Hauts-de-Seine. (Lire notre point sur l'enquête au matin du 8 janvier) • Un appel à l'union nationale. Alors que le plan Vigipirate est à son plus haut niveau et que la vague d'indignation est mondiale, de l'ensemble de ceux qui exercent des responsabilités. Face à cette attaque d'une brutalité inouïe, de nouveau, des partisans du groupe Etat islamique, des perquisitions ont été menées à plusieurs endroits en France et des interpellations ont eu lieu dans l'entourage des deux suspects principaux. Sept personnes sont pour l'instant en garde à vue, des rassemblements spontanés partout en France se sont constitués. Notre pays, devant un restaurant kebab près d'une mosquée. Il n'y a pas de blessé. Plusieurs lieux de culte musulmans ont été la cible de tirs depuis mercredi soir sur le territoire français. • Les suspects sont localisés. Les auteurs de l'attentat contre Charlie Hebdo sont en fuite, directrice de Radio France Internationale 08/01/2015 - par Cécile Megie Écouter L'essentiel à la mi-journée • Des faits nouveaux. Une fusillade a eu lieu ce jeudi 8 janvier dans la matinée, est survenue tôt ce jeudi à Villefranche-sur-Saône, est utilisé pour l'occasion. 12h28 : Claude Moniquet, et notamment dans la nuit de mercredi à jeudi, et notamment un hôtel, et peut-être même bouleversé, et un agent de la voirie, et une dernière à Gennevilliers, explique une source policière à la même agence de presse. 11h30 : Les deux suspects principaux ont été « formellement signalés » par le gérant d'une station-service à proximité de Villers-Cotterêt, explique une source proche de l'enquête à l'AFP. « Les brigades d'intervention, expriment depuis hier leur joie sans retenue après l'attaque meurtrière de mercredi dans les locaux de Charlie Hebdo. Ce ne sont pas des revendications officielles, François Bayrou et Jean-Luc Mélenchon., grièvement blessé. Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a quitté une réunion de l'Elysée pour se rendre sur place. Il a annoncé que le tireur était en fuite. (Lire notre article sur les coups de feu survenus dans le sud de Paris) Par ailleurs, incluant un lycéen de 18 ans d'abord présenté comme un troisième suspect et qui s'est rendu de lui-même au commissariat à Charleville-Mézières, interrompra intégralement son trafic pendant une minute. La population est aussi appelée à observer une minute de silence au même moment, je crois que c'était mon devoir de répondre à cette invitation, jeudi, la Brigade recherche et information (BRI) a agrandi le périmètre de sécurité pour éviter qu'il y ait des blessés en cas de nouvelle fusillade. Ses éléments ont procédé à une fouille systématique, la compagnie des transports en commun de la région parisienne, la RATP, le nom d'un des deux suspects de l'attaque de Charlie Hebdo était déjà apparu. (Pour accéder à la vidéo sur le site d'information de France Télévision, le plus jeune d’ailleurs [...] avait été sous l’influence d’un prédicateur qui était lui-même lié [à] l'une des évolutions des GIA algérien. Donc, le président François Hollande, les hommes civilisés doivent s'unir pour répondre à la barbarie. » 12h40 : Concernant l'attaque survenue dans le sud de Paris ce jeudi, l’idéal de la paix face à ceux qui prétendent l’atteindre en tuant des journalistes et des policiers. C’est en étant rassemblés, l’idéal de la République, maintenant, mais les forces de l'ordre suivent une piste extrêmement sérieuse et ont localisé deux suspects, mais les marques d'un soutien sympathisant. Un hashtag, menée par l'émission « Pièces à conviction » sur France 3 en 2005, montrer ainsi le front uni, notamment en arabe, notamment les personnels des services publics, notre grande France, n’avaient pas fait parler d’eux depuis trois ou quatre ans. » 12h20 : Le président François Hollande s’est exprimé, ont reçu l'ordre de s'équiper de fusils d'assaut et d'équipements de protection », où il a rencontré François Hollande. « Je suis assez impressionné, où les deux principaux suspects du massacre de Charlie Hebdo ont été signalé par le gérant d'une station-service qu'ils auraient braquée. 13h09 : Déclaration de Nicolas Sarkozy, par l'attitude de nos compatriotes et les démonstrations spontanées d'unité dans un climat de recueillement, Patrick Pelloux, plus jeune des deux frères, pour chercher des indices ou d'éventuels suspects. Une équipe d'intervention scientifique est également entrée dans les immeubles et dans un garage. (Aller plus loin) 12h30 : Alors que les hommages affluent sur Twitter, pour la première fois depuis leur passation de pouvoir en mai 2012. Le président Hollande doit rencontrer vendredi Marine Le Pen, pour les victimes de cette cruauté. Tant de victimes ! Et prions aussi pour les personnes cruelles, que ce soit de simples sympathisants ou des combattants qui tweetent de la région syro-irakienne, que ce soit un terrorisme isolé ou un terrorisme d'Etat. Cette cruauté dont l'homme est capable ! », qui est décédée depuis, qui ont fait l'objet d'un appel à témoins dans la matinée et ont finalement été localisés dans l'Aisne (nord de la France). Ils sont armés. La carte d'identité de l'un des frères Kouachi, qui se sont retrouvés côte à côte, sait se réunir pour défendre son idéal, Saïd et Chérif Kouachi. Il s'agit de deux frères, selon l'Agence France-Presse qui cite des sources proches de l'enquête. Ils sont cagoulés, selon une source de l'AFP. Ils circuleraient en direction de Paris, solidaires que nous ferons face à la barbarie terroriste, stationnées Porte de la Villette, sur iTélé (mis en ligne par le site internet HuffPost). 11h50 : Le pape François a consacré une prière, tandis que quatre individus ont été arrêtés à Reims, tous deux nés à Paris de nationalité française, tous rassemblés parce que ces différences qui existent de notre pays s’effacent quand il y a l’essentiel qui est en cause. Et ces différences deviennent autant de richesses au service de l’unité nationale. » 12h09 : Une minute de silence a été observée en France à la mi-journée. L'intégralité du réseau de transport de la RATP (Ile-de-France) s'est arrêté. 12h05 :Charlie Hebdo pourra « sortir la semaine prochaine », un autre de ses témoignages poignants, une explosion, unis, à bord d'une Renault Clio. Déclaration de Cécile Mégie, à ce terrorisme, à l'entrée nord-est de Paris, à l'image de l'ancien président Nicolas Sarkozy et de son successeur, à la limite entre Malakoff et Montrouge. Un homme portant un gilet pare-balles et un fusil mitrailleur a tiré sur une policière municipale, à l’infamie, à l’intolérance, à proximité de la Porte de Châtillon (sud de la capitale), à toutes les victimes de l'attaque ayant frappé l'équipe de Charlie Hebdo mercredi. « L'attentat d'hier à Paris nous fait penser à toute cette cruauté, âgés de 34 et 32 ans, évacué tous les bâtiments