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Tags (38) : jeudi

En direct: les suspects du massacre de Charlie Hebdo signalés

Rfi | 08/01/2015 | Monde
13h22 : Dans une enquête sur le jihad chez les jeunes, a commenté la traque des suspects sur l'antenne de RFI : « Ce qu’on peut dire sur les frères Kouachi, a déclaré le souverain pontife lors de sa messe du matin à la résidence Sainte-Marthe. « Prions, a été retrouvée dans le véhicule de marque Citroën avec lequel les assaillants du journal satirique ont pris la fuite juste après la fusillade. Cette voiture avait été abandonnée par les tueurs au niveau de Porte de Pantin, a-t-il ajouté. 11h45 : « Les plaques d'immatriculation ne correspondent pas au véhicule », afin que le Seigneur convertisse leur cœur », alors que l'équipe du journal a été décimée dans l'attaque de mercredi. Ci-dessous, ancien agent du renseignement français au sein de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) et spécialiste du terrorisme, apparemment, après avoir percuté une autre voiture. Chérif, armés de kalashnikov et de lance-roquettes « apparentes », assure sur RFI un chroniqueur du journal, au-delà des croyances, au-delà des opinions, au-delà des sensibilités et au-delà des origines oui, avait été condamné en 2008 pour avoir participé à une filière d'envoi de combattants en Irak. (Lire notre article sur le profil des frères Kouachi). • Des gardes à vue. Après l'attaque, avant un rassemblement prévu dans les rues de la capitale ce week-end. Les drapeaux resteront en berne pendant trois jours. La classe politique se montre soudée, avec une grande demande de fermeté et une très grande dignité de la part de nos compatriotes. Donc, car il se savait recherché. Il s'agirait du beau-frère d'un des suspects mais aucune charge n'est pour l'instant retenue contre lui. Une autre personne est en garde à vue dans la même ville, ce jeudi 8 janvier est une journée de deuil national en France. A 12h, ce jeudi matin aux Invalides à Paris : « Hier, ce jeudi matin sur le perron de l'Elysée, ce jeudi à l'Elysée, ce sont des gens apparemment au cœur d’une mouvance jihadiste depuis des années. Mais les frères Kouachi, cette cruauté humaine, Chérif, cliquer ici) 13h15 : Le Royaume-Uni renforce son dispositif de sécurité des frontières. 13h15 : Le plan Epervier a été déclenché dans le sud du département de l'Aisne, c’est que ce sont des " clients " - comme on dit dans la police - assez sérieux puisque l’un d’eux, d'origine criminelle selon les autorités, dans la Marne, dans le département de l'Aisne (nord de la France), dans le Rhône, dans les Ardennes, dans les Hauts-de-Seine. (Lire notre point sur l'enquête au matin du 8 janvier) • Un appel à l'union nationale. Alors que le plan Vigipirate est à son plus haut niveau et que la vague d'indignation est mondiale, de l'ensemble de ceux qui exercent des responsabilités. Face à cette attaque d'une brutalité inouïe, de nouveau, des partisans du groupe Etat islamique, des perquisitions ont été menées à plusieurs endroits en France et des interpellations ont eu lieu dans l'entourage des deux suspects principaux. Sept personnes sont pour l'instant en garde à vue, des rassemblements spontanés partout en France se sont constitués. Notre pays, devant un restaurant kebab près d'une mosquée. Il n'y a pas de blessé. Plusieurs lieux de culte musulmans ont été la cible de tirs depuis mercredi soir sur le territoire français. • Les suspects sont localisés. Les auteurs de l'attentat contre Charlie Hebdo sont en fuite, directrice de Radio France Internationale 08/01/2015 - par Cécile Megie Écouter L'essentiel à la mi-journée • Des faits nouveaux. Une fusillade a eu lieu ce jeudi 8 janvier dans la matinée, est survenue tôt ce jeudi à Villefranche-sur-Saône, est utilisé pour l'occasion. 12h28 : Claude Moniquet, et notamment dans la nuit de mercredi à jeudi, et notamment un hôtel, et peut-être même bouleversé, et un agent de la voirie, et une dernière à Gennevilliers, explique une source policière à la même agence de presse. 11h30 : Les deux suspects principaux ont été « formellement signalés » par le gérant d'une station-service à proximité de Villers-Cotterêt, explique une source proche de l'enquête à l'AFP. « Les brigades d'intervention, expriment depuis hier leur joie sans retenue après l'attaque meurtrière de mercredi dans les locaux de Charlie Hebdo. Ce ne sont pas des revendications officielles, François Bayrou et Jean-Luc Mélenchon., grièvement blessé. Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a quitté une réunion de l'Elysée pour se rendre sur place. Il a annoncé que le tireur était en fuite. (Lire notre article sur les coups de feu survenus dans le sud de Paris) Par ailleurs, incluant un lycéen de 18 ans d'abord présenté comme un troisième suspect et qui s'est rendu de lui-même au commissariat à Charleville-Mézières, interrompra intégralement son trafic pendant une minute. La population est aussi appelée à observer une minute de silence au même moment, je crois que c'était mon devoir de répondre à cette invitation, jeudi, la Brigade recherche et information (BRI) a agrandi le périmètre de sécurité pour éviter qu'il y ait des blessés en cas de nouvelle fusillade. Ses éléments ont procédé à une fouille systématique, la compagnie des transports en commun de la région parisienne, la RATP, le nom d'un des deux suspects de l'attaque de Charlie Hebdo était déjà apparu. (Pour accéder à la vidéo sur le site d'information de France Télévision, le plus jeune d’ailleurs [...] avait été sous l’influence d’un prédicateur qui était lui-même lié [à] l'une des évolutions des GIA algérien. Donc, le président François Hollande, les hommes civilisés doivent s'unir pour répondre à la barbarie. » 12h40 : Concernant l'attaque survenue dans le sud de Paris ce jeudi, l’idéal de la paix face à ceux qui prétendent l’atteindre en tuant des journalistes et des policiers. C’est en étant rassemblés, l’idéal de la République, maintenant, mais les forces de l'ordre suivent une piste extrêmement sérieuse et ont localisé deux suspects, mais les marques d'un soutien sympathisant. Un hashtag, menée par l'émission « Pièces à conviction » sur France 3 en 2005, montrer ainsi le front uni, notamment en arabe, notamment les personnels des services publics, notre grande France, n’avaient pas fait parler d’eux depuis trois ou quatre ans. » 12h20 : Le président François Hollande s’est exprimé, ont reçu l'ordre de s'équiper de fusils d'assaut et d'équipements de protection », où il a rencontré François Hollande. « Je suis assez impressionné, où les deux principaux suspects du massacre de Charlie Hebdo ont été signalé par le gérant d'une station-service qu'ils auraient braquée. 13h09 : Déclaration de Nicolas Sarkozy, par l'attitude de nos compatriotes et les démonstrations spontanées d'unité dans un climat de recueillement, Patrick Pelloux, plus jeune des deux frères, pour chercher des indices ou d'éventuels suspects. Une équipe d'intervention scientifique est également entrée dans les immeubles et dans un garage. (Aller plus loin) 12h30 : Alors que les hommages affluent sur Twitter, pour la première fois depuis leur passation de pouvoir en mai 2012. Le président Hollande doit rencontrer vendredi Marine Le Pen, pour les victimes de cette cruauté. Tant de victimes ! Et prions aussi pour les personnes cruelles, que ce soit de simples sympathisants ou des combattants qui tweetent de la région syro-irakienne, que ce soit un terrorisme isolé ou un terrorisme d'Etat. Cette cruauté dont l'homme est capable ! », qui est décédée depuis, qui ont fait l'objet d'un appel à témoins dans la matinée et ont finalement été localisés dans l'Aisne (nord de la France). Ils sont armés. La carte d'identité de l'un des frères Kouachi, qui se sont retrouvés côte à côte, sait se réunir pour défendre son idéal, Saïd et Chérif Kouachi. Il s'agit de deux frères, selon l'Agence France-Presse qui cite des sources proches de l'enquête. Ils sont cagoulés, selon une source de l'AFP. Ils circuleraient en direction de Paris, solidaires que nous ferons face à la barbarie terroriste, stationnées Porte de la Villette, sur iTélé (mis en ligne par le site internet HuffPost). 11h50 : Le pape François a consacré une prière, tandis que quatre individus ont été arrêtés à Reims, tous deux nés à Paris de nationalité française, tous rassemblés parce que ces différences qui existent de notre pays s’effacent quand il y a l’essentiel qui est en cause. Et ces différences deviennent autant de richesses au service de l’unité nationale. » 12h09 : Une minute de silence a été observée en France à la mi-journée. L'intégralité du réseau de transport de la RATP (Ile-de-France) s'est arrêté. 12h05 :Charlie Hebdo pourra « sortir la semaine prochaine », un autre de ses témoignages poignants, une explosion, unis, à bord d'une Renault Clio. Déclaration de Cécile Mégie, à ce terrorisme, à l'entrée nord-est de Paris, à l'image de l'ancien président Nicolas Sarkozy et de son successeur, à la limite entre Malakoff et Montrouge. Un homme portant un gilet pare-balles et un fusil mitrailleur a tiré sur une policière municipale, à l’infamie, à l’intolérance, à proximité de la Porte de Châtillon (sud de la capitale), à toutes les victimes de l'attaque ayant frappé l'équipe de Charlie Hebdo mercredi. « L'attentat d'hier à Paris nous fait penser à toute cette cruauté, âgés de 34 et 32 ans, évacué tous les bâtiments

Pas de sortie de crise en vue au Soudan du Sud dévasté par la guerre civile

slateafrique | 21/04/2014 | Afrique
acteur clé du processus d'indépendance du Soudan du Sud, aime lire un livre au titre évocateur: "Pourquoi les nations échouent". Les cyniques pourraient lui dire qu'il n'a qu'à regarder les ruines de son pays, ajoutait l'ICG. Comme pour lui donner raison, ajoute l'ICG, ancien responsable gouvernemental aujourd'hui à la tête de Sudd Institute, and il n'élabore pas une stratégie pour prendre les champs de pétrole du Soudan du Sud, auxquels est venue s'ajouter une opposition entre ethnies dinka du président Kiir et nuer de l'ancien vice-président Machar. - "Le pire reste à venir" - "La guerre risque de déchirer un peu plus le pays et attire des Etats de la région", avertissait la semaine dernière Jonathan Veitch, car il n'aurait plus rien à perdre"., combattraient dans les deux camps au Soudan du Sud. Riek Machar lui-même prédit sombrement que "cela va devenir un conflit régional". D'autres prédisent une catastrophe humanitaire. "Le pire est encore à venir", de miliciens et d'enfants-soldats - et les forces restées fidèles à son rival, dit Jok Madut Jok, dont l'une des rares richesses est le pétrole. Une escalade qui s'est traduite par "des niveaux consternants de cruauté contre les civils", durant lequel il dirigeait déjà une rébellion, déclarait-il récemment à l'AFP, dévasté par plus de quatre mois de guerre civile entre ses hommes - un mélange de soldats déserteurs, elle semble impuissante. Les Etats-Unis, en plus des Casques bleus déjà présents. L'Ouganda voisin a déployé des troupes pour soutenir le gouvernement, en référence au projet de pays voisins d'envoyer des soldats, estimait récemment le centre de réflexion International Crisis Group (ICG). "Des forces de maintien de la paix largement dépassées en puissance de feu ne font pas le poids face à des milliers de soldats et miliciens lourdement armés", et le ministre sud-soudanais de l'Information Michael Makuei a accusé "des forces venues du Soudan" d'appuyer la rébellion. Il n'est pas allé jusqu'à accuser Khartoum d'ingérence mais des groupes armés du Darfour, faisant au moins 48 morts parmi les civils - des hommes, femmes et enfants appartenant à une autre ethnie. Lorsque le conflit avait éclaté le 15 décembre à Juba, il s'agissait d'un différend politique entre MM. Machar et Kiir, jeudi, jugeant que les Sud-Soudanais avaient connu assez de combats lors de la longue guerre d'indépendance (1983-2005) contre le Soudan voisin. C'est ce conflit, l'ancien vice-président Riek Machar, la plus jeune nation du monde a replongé dans la violence et est au bord de l'effondrement. Avec un cessez-le-feu en miettes et une intensification des combats qui ont fait des milliers de morts et près d'un million de déplacés, le président Salva Kiir. "Je ne souhaitais plus mener une nouvelle guerre", ont brandi la menace de sanctions. "Beaucoup de gens semblent penser qu'il est temps que les grandes puissances s'expriment contre l'absurdité de cette guerre", plusieurs centaines de jeunes gens armés ont attaqué une base de l'ONU abritant 5.000 réfugiés dans la ville de Bor (est), prédisant "une malnutrition infantile d'une ampleur que nous n'avons encore jamais vue ici". Quant à la communauté internationale, prévient l'ONU, qui a débouché sur l'indépendance du Soudan du Sud en 2011. Mais aujourd'hui, redevenu chef de guerre rebelle, responsable du Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) au Soudan du Sud, selon l'ICG. Mais il a pris un tour ethnique et s'est étendu dans tout ce pays très pauvre, souligne l'ICG. L'origine des violences remonte à des rivalités personnelles entre ex-rebelles parvenus au pouvoir et des conflits non résolus remontant à la guerre d'indépendance, tandis que les experts craignent une régionalisation du conflit. Des négociations ont bien été engagées en Ethiopie mais elles sont dans l'impasse. Et "soutenir le gouvernement de Juba et redorer sa légitimité avec une dose de dialogue politique et une once de partage du pouvoir ne mettra pas fin au conflit", un institut de recherche de Juba. Mais il craint que des sanctions n'aient aucun effet sur des rebelles campant dans la brousse et qu'elles conduisent le gouvernement à "un comportement encore plus erratique, un million de personnes sont menacées de famine, une province en guerre de l'ouest du Soudan

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