« Toutes nos pensées vont aux familles des soldats et aux soldats qui ont perdu la vie pour nous libérer de cet enfer. » Ce sont là les premiers mots de Laurent Lassimouillas, l'un des ex-otages, après leur entretien avec le président burkinabè Roch Marc Christian Kaboré.
Habillés d’un t-shirt noir, les deux Français et la Sud-Coréenne étaient accompagnés par l’ambassadeur de France au Burkina Faso et des membres de la délégation venue de Paris pour les reconduire en France. L’entretien avec le président Roch Marc Christian Kaboré a duré une vingtaine de minutes.
L’ex-otage américaine ne faisait pas partie de la délégation. Selon le ministre burkinabè des Affaires étrangères, elle a été prise en charge par les autorités américaines présentes à Ouagadougou.
Compassion et soulagement
Le chef de l’État burkinabè a tout d’abord exprimé sa compassion, suite à la mort des deux commandos français au cours de l’opération, et dit son soulagement quant à la libération des otages.
Selon Alpha Barry, chef de la diplomatie burkinabè, Roch Marc Christian Kaboré a exprimé sa solidarité avec le peuple français et relevé l’importance de la coopération militaire entre les deux pays. « Le succès de cette opération vient prouver que cette coopération marche bien », a déclaré Alpha Barry.
Les autorités burkinabè ont par ailleurs précisé que quinze militaires burkinabè, membres des forces spéciales, ont participé à l’opération qui a permis la libération des otages, en plus du soutien dans le cadre des renseignements.
Après l’entretien avec le président burkinabè, les ex-otages ont été conduits à l’aéroport pour embarquer pour Paris où ils sont attendus en fin d'après-midi ce samedi.
Habillés d’un t-shirt noir, les deux Français et la Sud-Coréenne étaient accompagnés par l’ambassadeur de France au Burkina Faso et des membres de la délégation venue de Paris pour les reconduire en France. L’entretien avec le président Roch Marc Christian Kaboré a duré une vingtaine de minutes.
L’ex-otage américaine ne faisait pas partie de la délégation. Selon le ministre burkinabè des Affaires étrangères, elle a été prise en charge par les autorités américaines présentes à Ouagadougou.
Compassion et soulagement
Le chef de l’État burkinabè a tout d’abord exprimé sa compassion, suite à la mort des deux commandos français au cours de l’opération, et dit son soulagement quant à la libération des otages.
Selon Alpha Barry, chef de la diplomatie burkinabè, Roch Marc Christian Kaboré a exprimé sa solidarité avec le peuple français et relevé l’importance de la coopération militaire entre les deux pays. « Le succès de cette opération vient prouver que cette coopération marche bien », a déclaré Alpha Barry.
Les autorités burkinabè ont par ailleurs précisé que quinze militaires burkinabè, membres des forces spéciales, ont participé à l’opération qui a permis la libération des otages, en plus du soutien dans le cadre des renseignements.
Après l’entretien avec le président burkinabè, les ex-otages ont été conduits à l’aéroport pour embarquer pour Paris où ils sont attendus en fin d'après-midi ce samedi.
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