Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme, l’armée a isolé Douma du reste de l’enclave en prenant le contrôle de la route la reliant aux villes de Harasta à l’ouest et de Misraba au sud.
Aujourd’hui, la Ghouta orientale serait de facto divisée en trois : Douma et sa périphérie, Harasta, et le reste des localités au sud. Depuis 2013, les forces de Bachar el-Assad assiègent l’enclave, dont ils ont repris la moitié des 100 kilomètres carrés.
L’offensive actuelle, d’une violence inédite dans le conflit, a pour objectif d'affaiblir les factions rebelles qui contrôlent la Ghouta et les empêcher de tirer des obus sur Damas.
Ce samedi à la mi-journée, la ville de Douma était la cible de bombardements aériens et d’artillerie. Des avions syriens et russes ont largué des barils d’explosifs sur Douma et poursuivent leurs raids sur d’autres localités, rapporte l'OSDH, qui parle d'une contre-offensive des rebelles « stopée net ».
Vendredi, malgré les bombardements, un convoi de 13 camions a pu pénétrer dans l’enclave pour distribuer de l’aide, pour seulement la seconde fois depuis le début de l’offensive.
Quatre cent mille personnes sont bloquées dans la Ghouta orientale depuis cinq ans, elles vivent quotidiennement les pénuries de nourriture mais aussi de médicaments. Médecins sans frontières (MSF) dénonce « une terrible catastrophe médicale ».
Aujourd’hui, la Ghouta orientale serait de facto divisée en trois : Douma et sa périphérie, Harasta, et le reste des localités au sud. Depuis 2013, les forces de Bachar el-Assad assiègent l’enclave, dont ils ont repris la moitié des 100 kilomètres carrés.
L’offensive actuelle, d’une violence inédite dans le conflit, a pour objectif d'affaiblir les factions rebelles qui contrôlent la Ghouta et les empêcher de tirer des obus sur Damas.
Ce samedi à la mi-journée, la ville de Douma était la cible de bombardements aériens et d’artillerie. Des avions syriens et russes ont largué des barils d’explosifs sur Douma et poursuivent leurs raids sur d’autres localités, rapporte l'OSDH, qui parle d'une contre-offensive des rebelles « stopée net ».
Vendredi, malgré les bombardements, un convoi de 13 camions a pu pénétrer dans l’enclave pour distribuer de l’aide, pour seulement la seconde fois depuis le début de l’offensive.
Quatre cent mille personnes sont bloquées dans la Ghouta orientale depuis cinq ans, elles vivent quotidiennement les pénuries de nourriture mais aussi de médicaments. Médecins sans frontières (MSF) dénonce « une terrible catastrophe médicale ».
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