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UCAD : Suspension des cours au moment « inopportun »



UCAD : Suspension des cours au moment « inopportun »
 
L’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar a renoué avec la crise ce lundi. Les enseignants du Syndicat Autonome du Supérieur ont décrété la suspension des cours pour réclamer le paiement de leurs heures supplémentaires et de meilleures conditions de travail.
 
Du Coup, la section de la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines (FLSH), celle de l’Ecole des Bibliothécaires, Archivistes et Documentalistes (EBAD) et du CESTI se trouvent paralysées. Toutefois, même s’ils semblent comprendre les revendications des professeurs, les étudiants au micro de la RFM, affirment que le moment est mal choisi car les examens sont pour bientôt, s’expliquent-ils.
 
Conscients que l’année est « déjà assez perturbée », ils interpellent l’Etat pour décanter la situation.


Mardi 21 Août 2012 - 14:58


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1.Posté par GNANGOOR le 21/08/2012 18:25
LES ROLES PERVERS JOUES PAR LES SYNDICATS D’ENSEIGNANTS LORS DE L’ELECTION PRESIDENTIELLE DE 2012 :MAUVAIS CALCUL ET DUPERIE.
Durant les campagnes de l’élection présidentielle de 2012 au Senegal, beaucoup de sénégalais se posaient des questions sur l’opportunité des grèves des enseignants dans la mesure ou le moment n’était point favorable a des pourparlers de ce genre. Ils ont sacrifie les élèves dans le seul but de discréditer le president Abdoulaye Wade, augmentant ainsi les chances de Macky Sall.Ce n’est un secret que la majeure partie des enseignants d’aujourd’hui n’ont ni éthique, ni deontologie, sans compter leur faibles niveaux académiques et professionnels. Mais ici on note surtout leur demagogie, leur egoisme, leur faiblesse de personnalité pour tout dire. Comment ont-ils pu croire a des promesses qui peuvent dépasser ce que peut leur apporter Wade. Il faut être indulgent avec les jeunes enseignants qui ont commencé a exercer après 2000, car ne pouvant pas apprécier les bons apportes par l’ancien president dans l’amélioration des conditions des enseignants. ILS ont été endoctrines par les roublards qui ne sont que des politiciens sans vergogne. Le comble est que le deal qu’ils avaient établi avec ces nouveaux dirigeants va leur couter cher et vont regretter amèrement leur mauvaise foi. Ce nouveau régime acceptait tout pour avoir le pouvoir. L’exemple des denrées alimentaires est la. Vivement l’ouverture de l’année scolaire prochaine pour constater leur deception.Meme le S.A.ES., malheureusement, faisait partie de ce jeu.
On nourrissait beaucoup d’espoir avec l’événement du S.A.E.M.S.S/C.U.C.E.M.S mais tout est retombe dans la lethargie.Les syndicats cycle primaire ne voulant jamais la catégorisation des indemnités reclamees,font resurgir leurs caractères egoistes,incitant a la facilite ,au manque d’ambition, a la promotion de la qualité :comment peut-on donner une même indemnité de logement a tous les enseignants des cycles prescolaire,elementaire,moyen et secondaire ?A quoi bon alors chercher des diplômes universitaires pour retourner a l’enseignement ?
Reconnaissons a WADE d’avoir accompli des pas de géants dans l’amélioration des conditions materielles, morales et professionnelles mais, étant mal conseille et avec la pression des syndicats de bas etage, beaucoup de frustration sont apparues ensuite.
Ce qui est clair est qu’avec ce nouveau régime et surtout ce ministre qui ne sait que parler pour dire des conneries, le réveil sera brutal pour les enseignants. Apres les avoir utilises, il leur tourne le dos et est entrain d’initier des réseaux d’enseignants pour le soutenir. Les enseignants sont cancres comme les poissons qui mordent toujours à l’hameçon.
Malheureusement la société sénégalaise est sevrée : tous les ONG ou mouvements qui devraient la défendre ne sont mus que par des intérêts matériels, moraux ou sociaux. RADDHO, FORUM CIVIL, TRANSPARENCY, etc…n’existent plus que de nom.
Baabili Diallo. Pour une nouvelle renaissance citoyenne au Sénégal.

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