Ce dialogue sera mené « en toute liberté et en toute transparence », promet Abdelkader Bensalah. Il sera conduit par « des personnalités nationales crédibles, indépendantes, sans affiliation partisane ni ambition électorale ».
Ni l'État ni l'armée n'y prendront part. L'État se contentera seulement « de mettre tous les moyens matériels et logistiques à disposition de ce panel de personnalités », qui décidera lui-même de son fonctionnement.
« Ce dialogue est urgent » et « plus que nécessaire », estime le président intérimaire. « Il devra [...] se concentrer sur l'unique objectif stratégique que constitue l'organisation de l'élection. » Un scrutin qui « devrait se tenir à une date la plus rapprochée possible ».
La mise en place d'un « organe » ou d'une « autorité indépendante » chargée « d'organiser et de contrôler le processus électoral dans toutes ses étapes » sera donc « au centre des discussions ».
Il faut, estime encore le dirigeant, « mettre de côté les calculs marginaux et les exigences irréalistes ». Des exigences qui pourraient « entraîner l'Algérie dans une situation de vide constitutionnel, source d'incertitude et d'instabilité ».
Le pays, conclut le président par intérim, « doit recouvrer au plus vite sa normalité politique et institutionnelle ».
La présidentielle était prévue ce jeudi 4 juillet. Mais faute de candidats, elle n'a pas pu être organisée. Abdelkader Bensalah devrait donc rester au pouvoir jusqu'à l'élection du nouveau chef de l'État.
Ni l'État ni l'armée n'y prendront part. L'État se contentera seulement « de mettre tous les moyens matériels et logistiques à disposition de ce panel de personnalités », qui décidera lui-même de son fonctionnement.
« Ce dialogue est urgent » et « plus que nécessaire », estime le président intérimaire. « Il devra [...] se concentrer sur l'unique objectif stratégique que constitue l'organisation de l'élection. » Un scrutin qui « devrait se tenir à une date la plus rapprochée possible ».
La mise en place d'un « organe » ou d'une « autorité indépendante » chargée « d'organiser et de contrôler le processus électoral dans toutes ses étapes » sera donc « au centre des discussions ».
Il faut, estime encore le dirigeant, « mettre de côté les calculs marginaux et les exigences irréalistes ». Des exigences qui pourraient « entraîner l'Algérie dans une situation de vide constitutionnel, source d'incertitude et d'instabilité ».
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