"Il y a des faits extrêmement graves, inacceptables commis par un jeune qui a un peu perdu les pédales, qui a un peu la grosse tête", reconnait le directeur de la police nationale nuançant pourtant la gravité de l'affaire. "Le préjudice lui-même n’est pas grave, estime Eric Morvan. Les personnes interpellées de manière absolument irrégulières ne sont pas blessées."
Par ailleurs, Eric Morvan estime que la sanction infligée à Alexandre Benalla, qui a "une vertu pédagogique" et qui n'est "pas anodine", est "plus sévère qu’une sanction qui aurait pu être infligée à un fonctionnaire". "A la place de M. Strzoda, j'aurais pris la même décision".
Avec BFMTV
Par ailleurs, Eric Morvan estime que la sanction infligée à Alexandre Benalla, qui a "une vertu pédagogique" et qui n'est "pas anodine", est "plus sévère qu’une sanction qui aurait pu être infligée à un fonctionnaire". "A la place de M. Strzoda, j'aurais pris la même décision".
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"Vous dites que je ne suis pas au courant de grand chose..." Le ton monte lors de l'audition au Sénat du directeur général de la police pic.twitter.com/aebsIoCtz9
— BFMTV (@BFMTV) 25 juillet 2018
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