Depuis sa proclamation d'« Etat sanctuaire » en septembre, la Californie défie chaque jour l'administration Trump. L'Etat rebelle refuse que ses services de police ou administratifs collaborent avec les autorités fédérales dans leur lutte contre l'immigration.
En clair, les autorités californiennes ne signalent aucune information permettant d'expulser un immigré sans papiers, même en cas de violation de la loi. Cette sédition administration ulcère Donald Trump qui accuse l'Etat le plus riche, le plus peuplé et sans doute aussi le plus libéral des Etats-Unis, d'être devenu un sanctuaire pour les gangs comme l'ultra-violent MS-13.
« Ces villes sanctuaires qui protègent d'horribles criminels, c'est une honte » a-t-il déclaré depuis la Maison Blanche ce jeudi, avant de menacer en représailles de retirer sa police de l'immigration de Californie. « Si nous retirons la police de l'immigration, si on laisse la Californie se débrouiller toute seule, en deux mois, ils nous supplieraient de revenir, ce serait un nid à criminels », a ajouté Donald Trump avant de lancer : « Et bien vous savez quoi ? Je pense que je vais le faire. »
Le président américain a fait de la lutte contre l'immigration, qu'il assimile régulièrement à la criminalité, une priorité. Son ministère de la Justice a déjà menacé de couper des millions de dollars de subventions fédérales à toutes les villes sanctuaires des Etats-Unis.
Rfi
En clair, les autorités californiennes ne signalent aucune information permettant d'expulser un immigré sans papiers, même en cas de violation de la loi. Cette sédition administration ulcère Donald Trump qui accuse l'Etat le plus riche, le plus peuplé et sans doute aussi le plus libéral des Etats-Unis, d'être devenu un sanctuaire pour les gangs comme l'ultra-violent MS-13.
« Ces villes sanctuaires qui protègent d'horribles criminels, c'est une honte » a-t-il déclaré depuis la Maison Blanche ce jeudi, avant de menacer en représailles de retirer sa police de l'immigration de Californie. « Si nous retirons la police de l'immigration, si on laisse la Californie se débrouiller toute seule, en deux mois, ils nous supplieraient de revenir, ce serait un nid à criminels », a ajouté Donald Trump avant de lancer : « Et bien vous savez quoi ? Je pense que je vais le faire. »
Le président américain a fait de la lutte contre l'immigration, qu'il assimile régulièrement à la criminalité, une priorité. Son ministère de la Justice a déjà menacé de couper des millions de dollars de subventions fédérales à toutes les villes sanctuaires des Etats-Unis.
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