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Hollande veut relancer les échanges économiques avec la Turquie

Après une journée consacrée au dialogue politique avec Ankara, le président français termine ce mardi sa visite d’état en Turquie. Cette fois, c’est l’aspect économique de ce voyage qui va être clairement mis en avant. « Nous devons atteindre vingt milliards d'euros d'échanges commerciaux », a martelé le président français, qui doit rencontrer ce mardi à Istanbul des patrons français et turcs.



François Hollande et son homologue turc Abdullah Gül s'adressent aux médias au palais présidentiel à Ankara le 27 Janvier 2014. REUTERS/Umit Bektas
François Hollande et son homologue turc Abdullah Gül s'adressent aux médias au palais présidentiel à Ankara le 27 Janvier 2014. REUTERS/Umit Bektas

Des échanges, des discussions et au final, des affaires : c’est l’objectif de cette deuxième journée en Turquie de François Hollande. Au programme, il y a un forum organisé entre hommes d’affaires. Des Turcs, bien sûr, mais aussi des Français venus nombreux avec la délégation présidentielle : des chefs d’entreprises de toutes tailles et notamment des grandes. Les PDG de GDF-Suez, Thalès, du Club Méditerranée sont par exemple de ce déplacement. Mais il y a aussi quelques PME qui ont embarqué dans l’Airbus présidentiel. Il faut dire que les perspectives sont très intéressantes.
 

Besoins énormes
 

Depuis une dizaine d’années, la croissance turque a permis au PIB par habitant du pays de tout simplement tripler mais on assiste aussi à l’émergence d’une importante classe moyenne au pouvoir d'achat de plus en plus important. Toutes les grandes enseignes internationales sont d’ailleurs visibles dans les centres commerciaux turcs. Les besoins en infrastructures de transport et d’énergie ou encore en industrie pharmaceutique sont énormes. Des domaines dans lesquels les groupes français sont bien placés. Airbus a déjà enregistré de grosses commandes de la part des compagnies turques.
 

Faire mieux
 

Mais il est possible de faire encore mieux. Depuis quelques années, la part de marché française dans les importations turques a diminué de moitié. A l’Elysée, on veut arrêter cette hémorragie et avec son homologue turc Abdullah Gül, François hollande a fixé un objectif : arriver à 20 milliards d’euros d’échanges annuels.

Source : Rfi.fr
 



Mardi 28 Janvier 2014 - 12:44


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1.Posté par maliactu le 29/01/2014 16:44
Je suis d'accord, car les échanges commerciaux rapprochent plus les Etats.

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