Par la voix de son président, La Ligue Sénégalaise des Droits de l’Homme (LSDH) demande à l’Etat d’ouvrir une information judiciaire sur l’affaire Lamine Diack. Selon Me Assane Dioma Ndiaye, ce serait gravissime si cela s’avéré que cet argent a financé les assises nationales dont la LSDH était partie prenante.
«On a été surpris comme tout le monde, si on parle de 20.000 euros, on peut penser que Lamine Diack pouvait de lui-même aider les assises nationales mais s’il est avéré comme il a déclaré que c’est plutôt l’argent russe qui a été injecté aussi bien au niveau de certains partis politiques ou même de segments de la société y compris les assises nationales, évidemment ce serait extrêmement pénible pour nous qui étions partie prenante. On se rend compte aujourd’hui qu’on a dû ou qu'on a travaillé avec de l’argent sale et la seule façon de s’assumer, c’est d’ouvrir une information, de voir réellement, de retracer parce que l’argent est traçable, il y a des preuves de comptes, il appartient à l’Etat aujourd’hui d’assumer ses obligations et au besoin il nous reviendra tous de faire notre mea culpa. Mais dans tous les cas, on a l’obligation d’éclaircir cette affaire ».
Sur la Rfm, le défenseur des droits de l’homme demande la libération du coordonnateur du Parti Démocratique Sénégalais (PDS), Oumar Sarr et l’arrêt de toutes les poursuites ou d’éventuelles poursuites contre les journalistes dans cette affaire qui continue de défrayer la chronique.
«On a été surpris comme tout le monde, si on parle de 20.000 euros, on peut penser que Lamine Diack pouvait de lui-même aider les assises nationales mais s’il est avéré comme il a déclaré que c’est plutôt l’argent russe qui a été injecté aussi bien au niveau de certains partis politiques ou même de segments de la société y compris les assises nationales, évidemment ce serait extrêmement pénible pour nous qui étions partie prenante. On se rend compte aujourd’hui qu’on a dû ou qu'on a travaillé avec de l’argent sale et la seule façon de s’assumer, c’est d’ouvrir une information, de voir réellement, de retracer parce que l’argent est traçable, il y a des preuves de comptes, il appartient à l’Etat aujourd’hui d’assumer ses obligations et au besoin il nous reviendra tous de faire notre mea culpa. Mais dans tous les cas, on a l’obligation d’éclaircir cette affaire ».
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