Le visage de la répression des sicaires en Gambie et ancien ministre de l’intérieur gambien, Ousmane Sonko a été limogé vendredi dernier par Yahya Jammeh. Sans perdre de temps, il s’est engouffré dans le premier vol en direction de Singapour où il s’est rapproché des autorités consulaires suédoises pour demander l’asile politique en suède.
Selon l’information à la une du quotidien suédois «Aftonbladet », «un homme appelé Ousmane Sonko et qui est considéré comme l’ancien ministre de l’intérieur de la Gambie a demandé l’asile politique en Suède».
En raison du profil important du demandeur d’asile pas comme les autres, poursuit le journal, «le cas de M. Sonko va être considéré comme une priorité pour contourner le protocole d’asile normal en Suède. Car Ousmane Sonko qui, il y a moins d’un (1) mois, s’autoproclamait « Baye Fall » de Yahya Jammeh en annonçant sur la télévision nationale gambienne un numéro vert via lequel les gambiens étaient tenus de «dénoncer toute personne se livrant à toute activité contraire aux intérêts du pouvoir de Yahya Jammeh», demande depuis mardi «une protection et une sécurité immédiate» par «peur que sa vie soit en danger».
A en croire toujours le quotidien suédois, l’ancien ministre Ousmane Sonko, qui est connu par sa brutalité, est l’un des loyalistes les plus vicieux du président autoritaire gambien Yahya Jammeh. Le média suédois citant ses sources le peint aussi comme le bras armé de la répression féroce du régime de Banjul contre les médias indépendants.
Selon l’information à la une du quotidien suédois «Aftonbladet », «un homme appelé Ousmane Sonko et qui est considéré comme l’ancien ministre de l’intérieur de la Gambie a demandé l’asile politique en Suède».
En raison du profil important du demandeur d’asile pas comme les autres, poursuit le journal, «le cas de M. Sonko va être considéré comme une priorité pour contourner le protocole d’asile normal en Suède. Car Ousmane Sonko qui, il y a moins d’un (1) mois, s’autoproclamait « Baye Fall » de Yahya Jammeh en annonçant sur la télévision nationale gambienne un numéro vert via lequel les gambiens étaient tenus de «dénoncer toute personne se livrant à toute activité contraire aux intérêts du pouvoir de Yahya Jammeh», demande depuis mardi «une protection et une sécurité immédiate» par «peur que sa vie soit en danger».
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