Les membres du groupement féminin de Touba Ndorong Extension, dans la banlieue Nord-ouest de la commune de Kaolack, ont vécu un après-midi difficile, ce dimanche. Informées la veille de la visite de la patronne de l’Oif, Micheaëlle Jean, ces femmes pionnières dans la production de bio charbon, ont battu le rappel des troupes pour offrir un accueil royal à leur hôte du jour. Au bout d’une attente interminable, la nouvelle est tombée de manière abrupte.
Pour des raisons de calendrier, la Sg de l’Oif qui devait être reçu au ministère des Affaires étrangères ne fera pas le déplacement. Venu en personne à l’accueil, le directeur de l’Ong Nebaday accuse le coup : « c’est difficilement compréhensible. Car, à 2 heures près, tout a été confirmé et les membres du groupement avaient tenu à être de la partie pour recevoir leur hôte », confesse Jean Goepp.
Une déception partagée par la présidente du groupement Amy Diouf : « Notre souhait du groupement était de montrer à notre hôte qui est comme nous une femme, le travail que nous menons dans la protection et la valorisation des ressources naturelles à travers la production de bio charbon, une alternative à l’exploitation abusive de la forêt. Au dernier moment on a été informé que pour des raisons de protocole, elle ne viendra plus. C’est vraiment dommage », dit-elle, dans les colonnes du journal « Libération ».
Pour des raisons de calendrier, la Sg de l’Oif qui devait être reçu au ministère des Affaires étrangères ne fera pas le déplacement. Venu en personne à l’accueil, le directeur de l’Ong Nebaday accuse le coup : « c’est difficilement compréhensible. Car, à 2 heures près, tout a été confirmé et les membres du groupement avaient tenu à être de la partie pour recevoir leur hôte », confesse Jean Goepp.
Une déception partagée par la présidente du groupement Amy Diouf : « Notre souhait du groupement était de montrer à notre hôte qui est comme nous une femme, le travail que nous menons dans la protection et la valorisation des ressources naturelles à travers la production de bio charbon, une alternative à l’exploitation abusive de la forêt. Au dernier moment on a été informé que pour des raisons de protocole, elle ne viendra plus. C’est vraiment dommage », dit-elle, dans les colonnes du journal « Libération ».
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