Il y a six mois presque jour pour jour, les pays d'Afrique de l'Est avaient choisi l'ancien président tanzanien Benjamin Mkapa pour relancer le dialogue. Six mois plus tard, le pouvoir burundais refuse toujours de rencontrer les opposants en exil du Cnared, qu'il accuse de compter des terroristes dans ses rangs.
Lors de la deuxième session du dialogue, mi-juillet, la médiation a même dû annuler la cérémonie d'ouverture car la délégation gouvernementale avait quitté les lieux. Dans ce climat de tension très vive, pouvoir, opposants et société civile avaient, chacun de leur côté, donné leur avis sur une feuille de route dans laquelle le facilitateur proposait, par exemple, la formation d'un gouvernement d'union nationale.
Benjamin Mkapa doit faire le point aujourd'hui sur le processus, pour que les pays d'Afrique de l'Est réunis dans le cadre d'un sommet extraordinaire de la Communauté d'Afrique de l'Est (EAC) décident de la marche à suivre dans les semaines et mois à venir. Son équipe ne veut évoquer aucun calendrier pour l'instant et rappelle que le médiateur veut amener tous les Burundais autour de la table, en précisant quand même : le Cnared n'est qu'une partie de l'opposition burundaise, il existe une autre opposition crédible au Burundi.
Source: Rfi.fr
Lors de la deuxième session du dialogue, mi-juillet, la médiation a même dû annuler la cérémonie d'ouverture car la délégation gouvernementale avait quitté les lieux. Dans ce climat de tension très vive, pouvoir, opposants et société civile avaient, chacun de leur côté, donné leur avis sur une feuille de route dans laquelle le facilitateur proposait, par exemple, la formation d'un gouvernement d'union nationale.
Benjamin Mkapa doit faire le point aujourd'hui sur le processus, pour que les pays d'Afrique de l'Est réunis dans le cadre d'un sommet extraordinaire de la Communauté d'Afrique de l'Est (EAC) décident de la marche à suivre dans les semaines et mois à venir. Son équipe ne veut évoquer aucun calendrier pour l'instant et rappelle que le médiateur veut amener tous les Burundais autour de la table, en précisant quand même : le Cnared n'est qu'une partie de l'opposition burundaise, il existe une autre opposition crédible au Burundi.
Source: Rfi.fr
Autres articles
-
Burkina Faso: la junte du capitaine Ibrahim Traoré décide de rétablir la peine de mort
-
Guinée-Bissau: la junte au pouvoir installe un Conseil national de transition
-
Mali: l'imam Dicko prend la tête d'une nouvelle coalition d'opposition non violente et clandestine
-
Corruption, fraude, violences... l'unité militaire britannique au Kenya dénoncée par le Parlement du pays
-
RDC-Rwanda : sous l'égide de Trump, Tshisekedi et Kagame signent un accord de paix





Burkina Faso: la junte du capitaine Ibrahim Traoré décide de rétablir la peine de mort


