Dans le cadre de la mise en œuvre du projet ‘’SamWa’’ de lutte contre le blanchiment de capitaux en Afrique de l’Ouest, les autorités judiciaires vont se doter d’une formation pour renforcer leurs capacités dans les jugements sur le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme. C'est la finalité de cet atelier régional qui va durer du 18 au 22 juin initié par le Groupe Intergouvernemental d’Action contre le Blanchiment d’Argent en Afrique de l’Ouest (Giaba) en partenariat avec l’union européenne.
Le directeur des programmes et projets du GIABA, Buno Nduka a souligné que cet atelier a été conçu afin de renforcer les capacités des autorités des Etats membres, chargées des enquêtes. «L’apport essentiel de cet atelier du projet ‘’SamWa’’ est de renforcer les capacités des juges pour qu’ils puissent juger les cas de blanchiments de capitaux avec beaucoup plus de rapidité », a-t-il déclaré.
A l’en croire, beaucoup de nos pays font un taux assez faible de condamnations dans ces cas-là du fait d'une maitrise assez médiocre de ce sujet. Ce qui explique, ces peines relativement bas. «Après cette formation, nous serons en mesure de pouvoir faire de manière expéditive les jugements sur le blanchiment de capitaux et obtenir des condamnations », a-t-il fait savoir.
M. Nduka a précisé également que les agents chargés des enquêtes sont formés dans le cadre des enquêtes et poursuites de blanchiment de capitaux. "Ce qui pourrait avoir comme impact le renforcement du taux de condamnation de blanchiment de capitaux", a-t-il laissé entendre.
Le directeur des programmes et projets du GIABA, Buno Nduka a souligné que cet atelier a été conçu afin de renforcer les capacités des autorités des Etats membres, chargées des enquêtes. «L’apport essentiel de cet atelier du projet ‘’SamWa’’ est de renforcer les capacités des juges pour qu’ils puissent juger les cas de blanchiments de capitaux avec beaucoup plus de rapidité », a-t-il déclaré.
A l’en croire, beaucoup de nos pays font un taux assez faible de condamnations dans ces cas-là du fait d'une maitrise assez médiocre de ce sujet. Ce qui explique, ces peines relativement bas. «Après cette formation, nous serons en mesure de pouvoir faire de manière expéditive les jugements sur le blanchiment de capitaux et obtenir des condamnations », a-t-il fait savoir.
M. Nduka a précisé également que les agents chargés des enquêtes sont formés dans le cadre des enquêtes et poursuites de blanchiment de capitaux. "Ce qui pourrait avoir comme impact le renforcement du taux de condamnation de blanchiment de capitaux", a-t-il laissé entendre.
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