Cette révision du droit de grève s’inscrit dans le cadre de réformes lancées par le gouvernement pour redresser le pays. Cette semaine encore le président Patrice Talon a réaffirmé la nécessité de rendre plus attrayant et plus compétitif l’environnement économique et social du pays.
Moudachirou Bachabi, secrétaire général de la Confédération générale des travailleurs du Bénin qui, avec 6 autres centrales syndicales, a appelé à la mobilisation, affirme ne pas être opposé aux changements mais vouloir un dialogue.
Le gouvernement béninois s’est engagé à ne faire aucune réforme sans en discuter avec les acteurs, notamment avec les syndicalistes, pour que nous puissions - de la conception à la mise en œuvre - être ensemble pour pouvoir en décider. Ça ne veut pas dire que nous devons nous entendre sur toutes les réformes mais, tout du moins, les réformes sur lesquelles nous ne nous entendons pas, que l’on voit les sacrifices auxquels nous n’avons pas consentis ou lesquels nous avons concédés.
Moudachirou Bachabi, secrétaire général de la Confédération générale des travailleurs du Bénin qui, avec 6 autres centrales syndicales, a appelé à la mobilisation, affirme ne pas être opposé aux changements mais vouloir un dialogue.
Le gouvernement béninois s’est engagé à ne faire aucune réforme sans en discuter avec les acteurs, notamment avec les syndicalistes, pour que nous puissions - de la conception à la mise en œuvre - être ensemble pour pouvoir en décider. Ça ne veut pas dire que nous devons nous entendre sur toutes les réformes mais, tout du moins, les réformes sur lesquelles nous ne nous entendons pas, que l’on voit les sacrifices auxquels nous n’avons pas consentis ou lesquels nous avons concédés.
Autres articles
-
Djibouti: plainte aux Nations unies contre la détention arbitraire d'un ancien ministre
-
Afghanistan: 21 morts dans une collision routière (responsable provincial)
-
Gaza: le ministère de la Santé du Hamas annonce un nouveau bilan de 31553 morts
-
Mali: les dissolutions d'associations sont une «restriction de la liberté d'expression», selon l'ONU
-
En pleine présidentielle, Vladimir Poutine promet une réplique à des attaques sur le sol russe