Après l’annonce faire par le président de la République, Macky Sall qui convoque le référendum le dimanche 20 mars prochain, le ministère de l’Intérieur a trente-trois (33) jours pour organiser le scrutin. Ne s’inquiétant pas outre mesure, les services d’Abdoulaye Daouda Diallo reconnaissent cependant que leur principal adversaire, c'est le temps mais que le Sénégal a une longue et riche expérience en organisation de scrutins.
«Pour quelqu'un qui ne s'y connaît pas, cela ressemble à une grosse contrainte. Mais si les moyens sont là et nous gageons qu'ils seront là puisque le Président a fixé une date, il suffira de s'y mettre avec détermination », souligne l’interlocuteur du «Le Populaire». Selon ce gros ponte du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique, «le deuxième tour de la Présidentielle est plus contraignante en termes de délai », mais rappelle qu'il a toujours été organisé au Sénégal sans problème, même s'il reconnaît qu'il se trouve que le matériel est déjà sur place après le premier tour ».
« On relèvera le défi d'organiser le référendum au Sénégal et dans 41 pays où vivent des Sénégalais. Le plus important, c'est seulement la mobilisation des moyens, parce que, il faut payer les grandes compagnies spécialisées qui acheminent le matériel jusque dans les consulats où les gens sont assez rodés en matière d'organisation d'élections», poursuit-il.
«Pour quelqu'un qui ne s'y connaît pas, cela ressemble à une grosse contrainte. Mais si les moyens sont là et nous gageons qu'ils seront là puisque le Président a fixé une date, il suffira de s'y mettre avec détermination », souligne l’interlocuteur du «Le Populaire». Selon ce gros ponte du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique, «le deuxième tour de la Présidentielle est plus contraignante en termes de délai », mais rappelle qu'il a toujours été organisé au Sénégal sans problème, même s'il reconnaît qu'il se trouve que le matériel est déjà sur place après le premier tour ».
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