La commission d’enquête dépêchée par la CEDEAO a bouclé son travail, suite à la plainte déposée par la Gambie contre le Sénégal. Elle juge la plainte gambienne sans objet. Banjul avait saisi l’organisation régionale pour protester contre le blocus de la Transgambienne. Celui-ci a été décidé par les transporteurs sénégalais pour protester contre la hausse vertigineuse, de 4.000 à 400.000 F CFA, du prix de la traversée du territoire gambien par les gros porteurs.
Suite à la plainte introduite par la Gambie auprès de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) pour motif de non-application de la part du Sénégal des dispositions de la convention de la CEDEAO A/P4/5/82 relative au transit routier inter-Etats (Trie) des marchandises, la CEDEAO a dépêché une mission sur place. L’institution communautaire, à l’issue de ses consultations avec différentes institutions et organisations professionnelles sénégalaises concernées par la mise en œuvre du Trie, a déclaré la plainte de la Gambie sans objet. Ce, indique «l’Observateur», aux motifs du caractère non opérationnel de ce dispositif (Trie) entre les deux pays, au regard des conditions prévues par ladite convention.
En effet, pour que le Trie soit effectif entre les deux pays, il faut au préalable, remplir deux conditions que sont : disposer d’une caution agréée et avoir des véhicules routiers ou des conteneurs préalablement agréés. Deux conditions (2) qui n’ont pas été remplies par la partie Gambienne. Dépêchés par leur tutelle, les enquêteurs de la CEDEAO ont effectué une mission de quatre (4) jours qui les a successivement menés en Gambie et au Sénégal, du 7 au 8 avril. La mission avait pour principal objectif de recueillir les arguments techniques des acteurs nationaux précités.
Suite à la plainte introduite par la Gambie auprès de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) pour motif de non-application de la part du Sénégal des dispositions de la convention de la CEDEAO A/P4/5/82 relative au transit routier inter-Etats (Trie) des marchandises, la CEDEAO a dépêché une mission sur place. L’institution communautaire, à l’issue de ses consultations avec différentes institutions et organisations professionnelles sénégalaises concernées par la mise en œuvre du Trie, a déclaré la plainte de la Gambie sans objet. Ce, indique «l’Observateur», aux motifs du caractère non opérationnel de ce dispositif (Trie) entre les deux pays, au regard des conditions prévues par ladite convention.
En effet, pour que le Trie soit effectif entre les deux pays, il faut au préalable, remplir deux conditions que sont : disposer d’une caution agréée et avoir des véhicules routiers ou des conteneurs préalablement agréés. Deux conditions (2) qui n’ont pas été remplies par la partie Gambienne. Dépêchés par leur tutelle, les enquêteurs de la CEDEAO ont effectué une mission de quatre (4) jours qui les a successivement menés en Gambie et au Sénégal, du 7 au 8 avril. La mission avait pour principal objectif de recueillir les arguments techniques des acteurs nationaux précités.
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