Le Fonds Monétaire international (FMI) veut « réaliser le miracle africain : politique de diversification et de croissance ». C’est en tout la conviction du directeur adjoint du FMI en Afrique, Roger Noor qui a indiqué qu’« il est donc nécessaire de trouver d’autres moyens pour financer le développement et l’investissement au Sénégal et ailleurs en Afrique ».
Parce que dit-il « la diversification politique croissance, c’est de mettre les bornes sur le futur. Le futur de l’Afrique, c’est l’intégration dans l’économie mondiale, la diversification économique. C’est pour cela que je pense qu’il faut mettre les orientations nécessaires et j’espère que le FMI, le G20 et tous les pays membres, vont donner des orientations nécessaires pour le futur ».
Poursuivant, M. Noor dit « certes les politiques fiscales sont une piste, mais il faut essayer de faire en sorte que l’investissement privé étranger vienne davantage en Afrique, car ça donne beaucoup d’opportunités ».
Quant au représentant du ministre de l’Economie des Finances et du Plan, Amadou Sarr :« la quête de diversification menant par exemple à une désindustrialisation à petit feu, pauvre en emplois, viable ou facteur d’accroissement des inégalités sociales et territoriales ou préjudiciables au cadre macroéconomique et à la viabilité de la dette publique, n’est certainement pas désirable ».
Avant de conclure qu’au Sénégal « ce que nous sommes en train de faire, c’est d’accélérer le rythme de réalisation des réformes et les ruptures structurelles pour véritablement inscrire notre pays sur une nouvelle trajectoire de croissance et de développement ».
Parce que dit-il « la diversification politique croissance, c’est de mettre les bornes sur le futur. Le futur de l’Afrique, c’est l’intégration dans l’économie mondiale, la diversification économique. C’est pour cela que je pense qu’il faut mettre les orientations nécessaires et j’espère que le FMI, le G20 et tous les pays membres, vont donner des orientations nécessaires pour le futur ».
Poursuivant, M. Noor dit « certes les politiques fiscales sont une piste, mais il faut essayer de faire en sorte que l’investissement privé étranger vienne davantage en Afrique, car ça donne beaucoup d’opportunités ».
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