Une nouvelle ère s'ouvre au ministère des Infrastructures. Le leader du Parti Républicain pour le Progrès (PRP), Déthié Fall, a officiellement pris ses fonctions ce lundi aux sphères ministériels de Diamniadio, succédant à Fatou Diouf. La cérémonie de passation de service a été marquée par la gratitude et la détermination des deux personnalités à faire avancer les grands projets du pays.
Fatou Diouf, qui occupait auparavant le portefeuille des Infrastructures maritimes et portuaires, a souligné le transfert de compétences vers le nouveau département. Elle a profité de l'occasion pour faire le point sur les chantiers en cours et les ambitions pour l'avenir.
Elle a notamment mis en avant la nécessité d'un "traitement spécial" pour la ville de Saint-Louis, une "grande ville de pêche" qui manque encore d'infrastructures portuaires dignes de ce nom. Un projet de quai de pêche agréé est à l'étude. De même, le port en eau profonde de Ndiaye (Nikin) a été évoqué comme un projet "très important pour le sud".
Mme Diouf a assuré avoir transmis au nouveau ministre toutes les informations nécessaires pour faire du Sénégal un "hub régional en ce qui concerne la logistique et les infrastructures maritimes et portuaires".
Le nouveau ministre, Déthié Fall, a rendu un vibrant hommage au président de la République Bassirou Diomaye Faye et au Premier ministre Ousmane Sonko pour la confiance placée en lui. Il a salué le travail accompli par sa prédécesseur et a promis de mobiliser "toute l'énergie nécessaire, dans la rigueur requise, dans la transparence attendue et en toute célérité" pour atteindre les objectifs fixés.
Il a également insisté sur la directive du Premier ministre d'un travail "24 heures sur 24". Pour M. Fall, il est impératif d'accélérer le rythme pour rattraper le retard du Sénégal par rapport aux pays plus avancés. Il a lancé un avertissement clair aux entreprises : "Celles qui ne sont pas dans ces dispositions ne seront pas, en tout cas, recrutées et ne vont pas travailler avec nous". Une politique qu'il promet d'appliquer de façon "militaire".
La passation de pouvoir s'est déroulée dans une ambiance empreinte de respect et de l'engagement commun à œuvrer pour le développement des infrastructures sénégalaises, moteurs essentiels de la croissance économique.
Fatou Diouf, qui occupait auparavant le portefeuille des Infrastructures maritimes et portuaires, a souligné le transfert de compétences vers le nouveau département. Elle a profité de l'occasion pour faire le point sur les chantiers en cours et les ambitions pour l'avenir.
Elle a notamment mis en avant la nécessité d'un "traitement spécial" pour la ville de Saint-Louis, une "grande ville de pêche" qui manque encore d'infrastructures portuaires dignes de ce nom. Un projet de quai de pêche agréé est à l'étude. De même, le port en eau profonde de Ndiaye (Nikin) a été évoqué comme un projet "très important pour le sud".
Mme Diouf a assuré avoir transmis au nouveau ministre toutes les informations nécessaires pour faire du Sénégal un "hub régional en ce qui concerne la logistique et les infrastructures maritimes et portuaires".
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