Le Sénégal a commémoré samedi 26 septembre 2020, l’anniversaire du naufrage du bateau « le JOOLA », navire qui assurait la liaison maritime entre Dakar et Ziguinchor. Dix-huit (18) ans après ce drame national, la question du mémorial reste l’une des préoccupations majeures des familles des victimes. Interrogé sur le projet, le Secrétaire général de la Fondation mondiale pour le mémorial est convaincu ce projet verra bientôt le jour.
« Mais croyez-moi, ce mémorial va voir le jour. Avec la mémoire, il faut du temps, parce que la mémoire, c’est le temps long, mais on y arrive toujours », a déclaré M. Sall rappelant qu’il sera implanté en Casamance, un lieu fondamental.
Selon lui, « la mémoire est fondamentale parce qu’elle nous permet d’évaluer, et nous permet de corriger les fautes ». Il est convaincu que « La République pour dire l’Etat n’a pas oublié ».
Parce que, a-t-il expliqué : « Il y a peu, le président de la République, au dernier Conseil des ministres, a souhaité que nous allions très vite dans l’érection de ce mémorial du Joola ».
Poursuivant, il a ajouté : « c’est vrai que cela fait 18 ans, mais quand on regarde de près ce drame, il ne s’agissait pas seulement de mettre une stèle quelque part, mais il fallait savoir où la mettre, comment la mettre, avec quel moyen et avec qui. La problématique était complexe, l’Etat ne pouvait pas y aller rapidement et tout seul ».
Ce projet, initié sous le régime d’Abdoulaye Wade, a été pris en charge avec l’arrivée de Macky Sall au pouvoir, si l’on en croit au Commissaire Sall.
« J’ai vu de mes propres yeux et participé à plusieurs réunions où le ministre de la Culture a tout fait pour que ce mémorial puisse enfin être érigé en Casamance, le lieu fondamental », a-t-il avancé, informant que dans le complexe qui a été érigé par l’architecte, d’origine italienne, il est prévu un musée.
Mais pour l’écrivain, le plus important, « c’est de se souvenir parce que le premier mémorial du Joola, c’est nous, c’est notre histoire, ce sont les familles des victimes qui sont là ».
Amadou Lamine Sall est d'avis que le mémorial permettra de mettre à contribution les communautés religieuses, chose qui pourra peut être apaisée les familles des victimes. « Nous sommes des musulmans, des chrétiens. Je pense qu'en construisant ce mémorial et le jour de son inauguration d’ailleurs, nous verrons toutes les communautés religieuses être là pour dire que Dieu existe, que nous croyons en Dieu, mais que ce qui s’est passé, s’est passé et nous devons le réparer, le prévenir pour que jamais plus un drame pareil ne se produise dans notre pays, mais nous allons retourner à Dieu, être nous-même et regarder ce drame avec beaucoup plus de lucidité et de responsabilité », a-t-il conclu.
« Mais croyez-moi, ce mémorial va voir le jour. Avec la mémoire, il faut du temps, parce que la mémoire, c’est le temps long, mais on y arrive toujours », a déclaré M. Sall rappelant qu’il sera implanté en Casamance, un lieu fondamental.
Selon lui, « la mémoire est fondamentale parce qu’elle nous permet d’évaluer, et nous permet de corriger les fautes ». Il est convaincu que « La République pour dire l’Etat n’a pas oublié ».
Parce que, a-t-il expliqué : « Il y a peu, le président de la République, au dernier Conseil des ministres, a souhaité que nous allions très vite dans l’érection de ce mémorial du Joola ».
Poursuivant, il a ajouté : « c’est vrai que cela fait 18 ans, mais quand on regarde de près ce drame, il ne s’agissait pas seulement de mettre une stèle quelque part, mais il fallait savoir où la mettre, comment la mettre, avec quel moyen et avec qui. La problématique était complexe, l’Etat ne pouvait pas y aller rapidement et tout seul ».
Ce projet, initié sous le régime d’Abdoulaye Wade, a été pris en charge avec l’arrivée de Macky Sall au pouvoir, si l’on en croit au Commissaire Sall.
« J’ai vu de mes propres yeux et participé à plusieurs réunions où le ministre de la Culture a tout fait pour que ce mémorial puisse enfin être érigé en Casamance, le lieu fondamental », a-t-il avancé, informant que dans le complexe qui a été érigé par l’architecte, d’origine italienne, il est prévu un musée.
Mais pour l’écrivain, le plus important, « c’est de se souvenir parce que le premier mémorial du Joola, c’est nous, c’est notre histoire, ce sont les familles des victimes qui sont là ».
Amadou Lamine Sall est d'avis que le mémorial permettra de mettre à contribution les communautés religieuses, chose qui pourra peut être apaisée les familles des victimes. « Nous sommes des musulmans, des chrétiens. Je pense qu'en construisant ce mémorial et le jour de son inauguration d’ailleurs, nous verrons toutes les communautés religieuses être là pour dire que Dieu existe, que nous croyons en Dieu, mais que ce qui s’est passé, s’est passé et nous devons le réparer, le prévenir pour que jamais plus un drame pareil ne se produise dans notre pays, mais nous allons retourner à Dieu, être nous-même et regarder ce drame avec beaucoup plus de lucidité et de responsabilité », a-t-il conclu.
Autres articles
-
Frontières Sénégalo-gambiens : des patrouilles mixtes entre les armées mise en place pour renforcer la sécurité et prévenir les litiges
-
« Idy était complètement en fracture avec les Thiessois », Dr Abdoukhadre Sanogo
-
🔴Suivez en Direct le bloc d’informations MidiKeng avec Babacar Fall du Gradec et Abdoulaye Ndiogou, juriste - consultant
-
Deux Sénégalais retrouvés mort à la frontière entre les USA et le Canada
-
Présidentielle 2024 au Sénégal : Idrissa Seck en perte de vitesse politique dans son fief